La communauté internationale continuait mercredi de se pencher au chevet de l’Amérique centrale dévastée, qui attend la visite du prince Felipe d’Espagne, du chef de l’État français et de l’épouse du président américain. Sur place, notamment au Honduras et au Nicaragua, le dénuement et les besoins restent immenses. «Tant que vous ne l’aurez pas constaté de visu, il vous sera difficile de réaliser l’ampleur du sinistre», a lancé l’ancien président américain George Bush «le cœur brisé» après une visite au Honduras. L’épouse du vice-président américain Al Gore, Tipper Gore, a souligné, également depuis ce pays, la dimension «biblique» des dégâts. Dans des paysages de ruines et de boue, des centaines de milliers de sinistrés sous des abris de fortune dérisoires manquaient encore de l’essentiel tandis que les maladies commençaient à frapper.Le va-et-vient constant des hélicoptères ne suffit pas à satisfaire tous les besoins en nourriture et en médicaments.
La communauté internationale continuait mercredi de se pencher au chevet de l’Amérique centrale dévastée, qui attend la visite du prince Felipe d’Espagne, du chef de l’État français et de l’épouse du président américain. Sur place, notamment au Honduras et au Nicaragua, le dénuement et les besoins restent immenses. «Tant que vous ne l’aurez pas constaté de visu,...
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