La Grèce a menacé mardi d’empêcher le futur élargissement de l’Union européenne si Chypre n’en faisait pas partie, après la mise en garde lancée la veille à Bruxelles par quatre pays européens. «Notre position est claire : Chypre ne peut pas être transformée en otage de la Turquie», a déclaré Nicos Athanassakis, un porte-parole du gouvernement grec. Lundi à Bruxelles, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Italie ont signé un texte commun qui souligne «les difficultés particulières» entraînées par la partition de Chypre dans les négociations d’adhésion à l’UE dont la phase concrète s’est ouverte mardi. M. Athanassakis a assuré qu’il s’agissait en fait d’un texte signé par les trois premiers pays mais pas par l’Italie. Le porte-parole grec a repris des déclarations faites lundi à Bruxelles par le ministre grec des Affaires européennes, Georges Papandréou, qui a assuré que le Parlement grec n’allait pas ratifier l’élargissement de l’UE si Chypre n’en faisait pas partie.
La Grèce a menacé mardi d’empêcher le futur élargissement de l’Union européenne si Chypre n’en faisait pas partie, après la mise en garde lancée la veille à Bruxelles par quatre pays européens. «Notre position est claire : Chypre ne peut pas être transformée en otage de la Turquie», a déclaré Nicos Athanassakis, un porte-parole du gouvernement grec. Lundi à Bruxelles, la France, l’Allemagne, les Pays-Bas et l’Italie ont signé un texte commun qui souligne «les difficultés particulières» entraînées par la partition de Chypre dans les négociations d’adhésion à l’UE dont la phase concrète s’est ouverte mardi. M. Athanassakis a assuré qu’il s’agissait en fait d’un texte signé par les trois premiers pays mais pas par l’Italie. Le porte-parole grec a repris des déclarations faites lundi à...