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Actualités - DISCOURS

L'hommage de l'émir Walid (photo)

L’émir Walid ben Talal, petit-fils de Riad Solh, a prononcé le mot de la famille Solh. Il devait, à cette occasion, établir un parallèle entre le retour de la statue et celui de Riad el Solh à l’issue de ses nombreux exils, tant durant l’occupation ottomane que pendant le mandat français. L’absence de la statue, a dit l’émir Walid, était le signe de la «colère et de la tristesse du leader face aux divisions des fils d’un même pays», alors que son retour indique «le retour de la convivialité entre les frères». Après un vibrant hommage à la résistance des enfants du Liban-Sud, «patrie de Riad Solh», l’émir Walid, à qui les filles de Riad el Solh, Alia, Lamia, Mona, Bahija et Leila, avaient confié la responsabilité de prononcer le mot de la famille, devait assurer que le leader disparu était bien plus grand que les quelques lignes d’un discours quelconque et que sa vie, pleine de sacrifices pour son pays, ne pouvait être résumée en quelques minutes. «Mon affection personnelle envers Riad el Solh – que je n’ai pas eu le bonheur de connaître – représente une partie de mon affection envers un Liban libre et indépendant. C’est pour cela que j’œuvre pour le bien-être du Liban et de son peuple», devait ajouter l’émir Walid. Malgré l’absence de sa statue pendant près de vingt ans, Riad el Solh n’a jamais été absent du cœur et de la pensée de ses compatriotes, devait ajouter l’émir Walid ben Talal, qui a assuré que son grand-père n’avait jamais établi de différence entre les Libanais de toutes confessions. Il a par ailleurs rendu hommage aux responsables actuels qui ont su tenir les rênes du pouvoir et rassembler les Libanais. En conclusion, l’émir Walid a affirmé que le retour de la statue de Riad el Solh devait être considéré comme le symbole de la libération prochaine du Liban-Sud et du retour de la convivialité au Liban. Enfin, l’émir Walid devait adresser un mot de remerciements à tous ceux qui avaient contribué au retour de la statue, ainsi qu’à ceux qui ont assisté à la cérémonie.
L’émir Walid ben Talal, petit-fils de Riad Solh, a prononcé le mot de la famille Solh. Il devait, à cette occasion, établir un parallèle entre le retour de la statue et celui de Riad el Solh à l’issue de ses nombreux exils, tant durant l’occupation ottomane que pendant le mandat français. L’absence de la statue, a dit l’émir Walid, était le signe de la «colère et...