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Actualités - CHRONOLOGIE

Quelques données et chiffres en vrac

— L’Etat perçoit 3% sur chaque minute de communication (c.a.d. 20% du total des factures, en plus des 2 «cents» d’augmentation (décidée en août 1997) prélevés sur chaque minute de communication. — L’Etat percevra, selon les termes du contrat, 40% des bénéfices réalisés par les 2 sociétés, à la 9e et 10e année à partir du début du contrat, et 50% à la 11ème et 12ème année, en cas de renouvellement du contrat ( le contrat est signé pour une période de dix ans, renouvelable pour 2 ans). — 10% de la facture globale sont prélevés pour le compte des municipalités. Ces dernières n’ont cependant jamais reçu, jusqu’à présent, la somme qui leur revient de droit. L’Etat aurait promis de le faire cette année, en payant les sommes dues avec effet rétroactif. — L’Etat aurait perçu 140 millions de dollars en revenus, comptabilisés sur les bénéfices des opérateurs, et ce, pour la seule année 1997. — Suite à la dernière augmentation contractuelle en date de juillet 98, le tarif de base de la minute est fixé à 5,9 cents, auquel il faut ajouter les 2 «cents» versés au Trésor. — Les cartes prépayées seraient actuellement vendues au marché noir entre $100 et $130, le prix initial étant de $20, $30, $40 ou $50, selon le nombre d’unités et la durée de la carte. — Cellis a, jusqu’à aujourd’hui, vendu 248.000 lignes, dont 148.000 lignes régulières, et 100.000 en cartes prépayées/ LibanCell 246.000 lignes, dont 128.000 lignes régulières, et 118.000 lignes en cartes prépayées. — Cellis a déclaré avoir investi la somme de 260 millions de dollars américains sur son réseau dont la capacité a été portée à 350.000 abonnés. — Les tarifs des services complémentaires offerts par les deux sociétés (appel en attente, messagerie vocale ou écrite, appel en conférence, fax, etc...) ne sont soumis à aucune limitation. Par conséquent, les opérateurs peuvent à tout moment décider des augmentations sans qu’elles soient pour autant fondée sur des critères précis. — Les termes du contrat BOT prévoient une augmentation annuelle de 5% sur le tarif de base de la minute, ce qui explique les augmentations régulières imposées tous les ans par les deux sociétés. — Plusieurs abonnés se sont vu imposer deux fois la même facture, ou deux factures par mois ou encore deux fois le prix d’une même communication... — Les cartes prépayées ont d’une part subi une augmentation de leur prix global, ensuite une réduction du nombre d’unités à la carte. Finalement c’est le nombre d’unités à la minute qui a été écourté pour être vendues aujourd’hui entre $100 et $140 au marché noir.
— L’Etat perçoit 3% sur chaque minute de communication (c.a.d. 20% du total des factures, en plus des 2 «cents» d’augmentation (décidée en août 1997) prélevés sur chaque minute de communication. — L’Etat percevra, selon les termes du contrat, 40% des bénéfices réalisés par les 2 sociétés, à la 9e et 10e année à partir du début du contrat, et 50% à la 11ème...