Il a ainsi, pour la première fois, fait une allusion directe à l’impact de ce blocage du processus de paix sur la réplique américaine à Saddam Hussein, admettant implicitement que cela avait empêché Washington d’obtenir le soutien total des pays arabes face à Bagdad.
Israéliens et Palestiniens «doivent honorer la lettre et l’esprit de leurs obligations», a-t-il dit en présence de l’ancien premier ministre israélien Shimon Pérès et de Leah Rabin, la veuve de celui qui précéda M. Pérès à la tête du gouvernement israélien, Yitzhak Rabin, assassiné il y a deux ans.
M. Clinton parlait à l’occasion d’une cérémonie au cours de laquelle il a reçu un prix attribué pour la première fois par les fondations Rabin et Pérès, celui d’«Homme de la Paix».
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