«Notre mouvement est revendicatif. Il n’est absolument pas politique», a déclaré cheikh Toufayli au cours d’une rencontre dans une Husseiniyé de Baalbeck.
Il a indiqué qu’il n’avait «aucune arrière-pensée, car si c’était le cas», il aurait «profité de la faiblesse de l’Etat», et qu’il ne désirait être «ni ministre, ni député, ni chef de parti, ni leader». «Tout ce que je veux, c’est donner leur droit à ceux qui ont faim», a-t-il dit.
Il a d’autre part rappelé la date-limite du 13 septembre qu’il avait fixée pour amener le gouvernement à satisfaire ses revendications en faveur des habitants de la Békaa et indiqué qu’au-delà de cette date, il procéderait à une «escalade» si les autorités «font preuve de négligence dans l’application des projets de développement» dans cette région.
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