C’est ce qu’a affirmé l’ancien chef de gouvernement, M. Sélim Hoss, dans une déclaration à la presse.
A titre d’exemple, a indiqué M. Hoss, «lorsque nous nous opposons à la formule de la troïka, nous proposons en contrepartie l’attachement au principe de la séparation des pouvoirs et lorsque nous dénonçons la corruption politique et administrative, nous prônons la réforme».
«Il reste, a-t-il ajouté, que les députés n’ont pas les moyens du gouvernement et qu’on ne peut donc leur demander des substituts aux projets de lois proposés par le gouvernement».
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