Le gouvernement avait expliqué qu’il ne pouvait pas rouvrir le dossier des indemnités parce qu’il n’est pas possible, selon lui, d’apprécier l’ampleur des dégâts occasionnés par les bombardements après plus d’un an de l’opération israélienne «Raisins de la colère». Le gouvernement avait auparavant précisé que dans les rapports relatifs aux recensements des dégâts, des erreurs avaient été relevées mais avaient été toutes corrigées. Et si aujourd’hui, des agriculteurs se plaignent de n’avoir pas été indemnisés, «c’est parce qu’ils n’avaient probablement pas déclaré à l’époque les dégâts qui ont été occasionnés dans leurs terres et ils doivent par conséquent assumer la responsabilité de leur négligence».
Actualités - CHRONOLOGIE
Parce qu'il n'a pas été convaincu par la réponse obtenue Ali El-Khalil transforme une question adressée au gouvernement en interpellation
le 25 juillet 1997 à 00h00
Le gouvernement avait expliqué qu’il ne pouvait pas rouvrir le dossier des indemnités parce qu’il n’est pas possible, selon lui, d’apprécier l’ampleur des dégâts occasionnés par les bombardements après plus d’un an de l’opération israélienne «Raisins de la colère». Le gouvernement avait auparavant précisé que dans les rapports relatifs aux recensements des dégâts, des erreurs avaient été relevées mais avaient été toutes corrigées. Et si aujourd’hui, des agriculteurs se plaignent de n’avoir pas été indemnisés, «c’est parce qu’ils n’avaient probablement pas déclaré à l’époque les dégâts qui ont été occasionnés dans leurs terres et ils doivent par conséquent assumer la responsabilité de leur négligence».
Le 11 juin 1997, M. Ali el-Khalil, député de Tyr, adressait au gouvernement une question concernant le paiement d’indemnités aux agriculteurs du Liban-Sud après l’opération militaire israélienne d’avril 1996. Le député protestait contre le fait que de nombreux agriculteurs dont les terres et les récoltes avaient été détruites lors des bombardements israéliens n’ont...
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