Une dépêche AFP rapporte que Heinrich Struebig, ancien responsable de l’association au Liban, estime que les responsables de l’état-major de crise mis en place par les autorités allemandes alors qu’il était otage au Liban doivent être poursuivis pour non assistance à personne en danger, complicité de privation de liberté et complicité de coups et blessures.
Selon M. Struebig, lui et un autre otage, Thomas Kemptner, ont dû, alors que l’état-major de crise s’activait, rester pendant près de deux ans «enchaînés dans une pièce sombre». M. Struebig avait été pris en otage par un groupe chiite, entre 1989 et 1992, qui réclamait la libération des frères Abbas et Mohammed Hamadé, emprisonnés en Allemagne.
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Don européen : suite à la levée de boucliers, Berry et Mikati s’activent
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes