L’ancien député M. Robert Ghanem a catégoriquement démenti hier avoir été le conseiller juridique du chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, en France ou ailleurs.
Dans une déclaration à la presse, M. Ghanem — qui a présenté devant le Conseil constitutionnel une demande d’invalidation de l’élection de M. Henri Chédid — a apporté hier les précisions suivantes:
«Certains quotidiens ont rapporté hier que M. Henri Chédid a demandé au Conseil constitutionnel de dessaisir les juges Khaled Kabbani et Mohamed Majzoub de ma demande d’invalidation et ont noté dans le cadre de leur information que j’ai été le conseiller juridique des institutions de M. Rafic Hariri en France.
«Je déplore que M. Chédid s’en prenne ainsi, à travers des organes de presse privés, aux juges Kabbani et Majzoub alors que l’enquête relative à ma demande d’invalidation touche à sa fin et que tout le monde se souvient que M. Chédid rendait hier encore hommage au Conseil constitutionnel et au détachement de ses membres.
«Les allégations de M. Chédid selon lesquelles j’étais le conseiller juridique de M. Hariri en France sont mensongères et dénuées de toute vérité et je tiens à préciser de façon claire et radicale que je n’ai jamais été le conseiller juridique du président du Conseil des ministres en France ou ailleurs. Je n’entretiens avec M. Hariri qu’une relation basée sur le respect mutuel».
Et de conclure: «Jamais encore, je ne me suis rabaissé à un tel niveau. Mais M. Chédid m’a contraint aujourd’hui à le faire de par sa pratique de désinformation délibérée à travers les organes de presse».
Dans une déclaration à la presse, M. Ghanem — qui a présenté devant le Conseil constitutionnel une demande d’invalidation de l’élection de M. Henri Chédid — a apporté hier les précisions suivantes:
«Certains quotidiens ont rapporté hier que M. Henri Chédid a demandé au Conseil constitutionnel de dessaisir les juges Khaled Kabbani et Mohamed Majzoub de ma demande d’invalidation et ont noté dans le cadre de leur information que j’ai été le conseiller juridique des institutions de M. Rafic Hariri en France.
«Je déplore que M. Chédid s’en prenne ainsi, à travers des organes de presse privés, aux juges Kabbani et Majzoub alors que l’enquête relative à ma demande d’invalidation touche à sa fin et que tout le monde se souvient que M. Chédid rendait hier encore hommage au Conseil constitutionnel et au détachement de ses membres.
«Les allégations de M. Chédid selon lesquelles j’étais le conseiller juridique de M. Hariri en France sont mensongères et dénuées de toute vérité et je tiens à préciser de façon claire et radicale que je n’ai jamais été le conseiller juridique du président du Conseil des ministres en France ou ailleurs. Je n’entretiens avec M. Hariri qu’une relation basée sur le respect mutuel».
Et de conclure: «Jamais encore, je ne me suis rabaissé à un tel niveau. Mais M. Chédid m’a contraint aujourd’hui à le faire de par sa pratique de désinformation délibérée à travers les organes de presse».
L’ancien député M. Robert Ghanem a catégoriquement démenti hier avoir été le conseiller juridique du chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, en France ou ailleurs.Dans une déclaration à la presse, M. Ghanem — qui a présenté devant le Conseil constitutionnel une demande d’invalidation de l’élection de M. Henri Chédid — a apporté hier les précisions...
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