La prière doit être accomplie dans toutes les mosquées d’Algérie, a précisé un communiqué cité par la radio.
Dans la tradition de la «sunna» (faits et dires du prophète Mohammed), cette prière doit être dite en plein air. Les fidèles doivent mettre leurs habits à l’envers en signe de détresse et l’imam réciter de longues sourates du Coran à voix haute.
Elle est dite dans les mosquées pour des raisons de sécurité, depuis le début des violences en Algérie en 1992.
Conséquence de cette sécheresse, l’eau est déjà rationnée dans les villes. A Alger, l’eau n’est disponible dans les ménages qu’un jour sur deux, alors que dans plusieurs régions, les paysans ont tiré la sonnette d’alarme estimant que les récoltes de céréales allaient être compromises si la pluie ne tombait pas en mars.
L’année dernière, grâce à une pluviométrie exceptionnelle, l’Algérie avait enregistré une récolte record de céréales de 49 millions de quintaux. En outre, les barrages ayant été bien remplis, les ménages avaient pu avoir de l’eau presque toute la journée.
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