JERUSALEM, 28 Février (AFP). — Une Israélienne qui accusait son mari ultra-orthodoxe d’être un bourreau d’enfants l’a confondu en le photographiant en flagrant délit, rapporte la presse israélienne.
«Je l’ai photographié parce que dans les milieux juifs ultra-orthodoxes, on ne prend pas en considération le témoignage d’une femme», a déclaré cette mère au quotidien «Yédiot Aharanot».
Le journal publie une photo du mari en train de frapper leur fille âgée de dix ans.
Pour la tradition religieuse stricte le témoignage d’une femme est assimilé à celui d’un enfant mineur et a beaucoup moins de poids que celui d’un homme adulte.
Photo à l’appui, la mère dont l’identité n’a pas été révélée, a porté plainte devant la police. Le père a été inculpé et reconnu coupable par un tribunal civil qui n’a pas encore décidé de la sentence.
«Je l’ai photographié parce que dans les milieux juifs ultra-orthodoxes, on ne prend pas en considération le témoignage d’une femme», a déclaré cette mère au quotidien «Yédiot Aharanot».
Le journal publie une photo du mari en train de frapper leur fille âgée de dix ans.
Pour la tradition religieuse stricte le témoignage d’une femme est assimilé à celui d’un enfant mineur et a beaucoup moins de poids que celui d’un homme adulte.
Photo à l’appui, la mère dont l’identité n’a pas été révélée, a porté plainte devant la police. Le père a été inculpé et reconnu coupable par un tribunal civil qui n’a pas encore décidé de la sentence.
JERUSALEM, 28 Février (AFP). — Une Israélienne qui accusait son mari ultra-orthodoxe d’être un bourreau d’enfants l’a confondu en le photographiant en flagrant délit, rapporte la presse israélienne.«Je l’ai photographié parce que dans les milieux juifs ultra-orthodoxes, on ne prend pas en considération le témoignage d’une femme», a déclaré cette mère au...
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