Le chef de la diplomatie bresilienne M. LUIZ FELIP lampreia a quitte hier BEYROUTH
au terme d ume visite de quatre jours au cours de laquelle il a signe deux accords de cooperation.
«J’ai constaté que le Brésil occupe une place impor tante dans le cœur des Libanais. J’ai été accueilli avec beaucoup de chaleur et d’amitié et je pense que ma visite a ouvert une nouvelle étape dans nos relations bilatérales et dans l’appui du Brésil au Liban», a-t-il déclaré à l’Aéroport international de Beyrouth.
M. Lampreia a été salué à son départ par l’ambassadeur du Brésil, M. Brian Michael Fraser Neele, ainsi que par le chef de la mission diplomatique libanaise au Brésil, M. Ghazi Chidiac, par le directeur du protocole au palais Bustros, M. Ramez Dimachkiyé, et deux responsables de cette même direction, MM. Mourad Jammal et Sami Kmeir.
«J’espère que cette amitié se traduira par la visite, le plus tôt possible, du président brésilien au Liban et du chef de l’Etat libanais au Brésil», a-t-il ajouté sans autre précision sur la date de ces visites.
Au cours de son séjour, M. Lampreia a signé deux accords de coopération portant sur l’accroissement des échanges aériens, notamment dans le domaine du fret, et les échanges universitaires, ainsi que l’équivalence entre les diplômes universitaires.
«Ces accords représentent le cadre légal de la coopération qui devra s’établir dans l’avenir» entre les deux pays, a-t-il déclaré.
«Nous devons prochainement signer un accord de coopération global, puis examiner la conclusion d’accords relatifs au secteur financier, aux impôts et à la garantie des investissements», a-t-il indiqué. M. Lampreia a estimé dans ce cadre que «les hommes politiques doivent créer le climat et les conditions propices, politiques ou juridiques, pour promouvoir cette coopération».
Il a une nouvelle fois souligné «l’apport essentiel de la communauté libanaise à l’édification du Brésil», où vit une importante colonie libanaise qui a émigré depuis le XIXe siècle.
Le Brésil compte environ huit millions d’habitants d’origine libanaise, soit 5% de la population.
Le chef de la diplomatie brésilienne a de nouveau exprimé le souhait que le Liban recouvre «sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire et soit capable de jouer un rôle prépondérant au Moyen-Orient».
A la question de savoir pourquoi il n’a pas rendu visite aux chefs des communautés religieuses, M. Lampreia a répondu en soulignant «le principe de la séparation de l’Etat et de l’Eglise» appliqué au Brésil. «Je suis venu au Liban en tant que représentant de l’Etat brésilien. Mes activités devaient donc demeurer dans ce cadre», a-t-il déclaré.
Durant son séjour, M. Lampreia a eu des entretiens avec les chefs de l’Etat, du Parlement et du gouvernement, MM. Elias Hraoui, Nabih Berry et Rafic Hariri.s
au terme d ume visite de quatre jours au cours de laquelle il a signe deux accords de cooperation.
«J’ai constaté que le Brésil occupe une place impor tante dans le cœur des Libanais. J’ai été accueilli avec beaucoup de chaleur et d’amitié et je pense que ma visite a ouvert une nouvelle étape dans nos relations bilatérales et dans l’appui du Brésil au Liban», a-t-il déclaré à l’Aéroport international de Beyrouth.
M. Lampreia a été salué à son départ par l’ambassadeur du Brésil, M. Brian Michael Fraser Neele, ainsi que par le chef de la mission diplomatique libanaise au Brésil, M. Ghazi Chidiac, par le directeur du protocole au palais Bustros, M. Ramez Dimachkiyé, et deux responsables de cette même direction, MM. Mourad Jammal et Sami Kmeir.
«J’espère que cette amitié se traduira par la visite, le plus tôt possible, du président brésilien au Liban et du chef de l’Etat libanais au Brésil», a-t-il ajouté sans autre précision sur la date de ces visites.
Au cours de son séjour, M. Lampreia a signé deux accords de coopération portant sur l’accroissement des échanges aériens, notamment dans le domaine du fret, et les échanges universitaires, ainsi que l’équivalence entre les diplômes universitaires.
«Ces accords représentent le cadre légal de la coopération qui devra s’établir dans l’avenir» entre les deux pays, a-t-il déclaré.
«Nous devons prochainement signer un accord de coopération global, puis examiner la conclusion d’accords relatifs au secteur financier, aux impôts et à la garantie des investissements», a-t-il indiqué. M. Lampreia a estimé dans ce cadre que «les hommes politiques doivent créer le climat et les conditions propices, politiques ou juridiques, pour promouvoir cette coopération».
Il a une nouvelle fois souligné «l’apport essentiel de la communauté libanaise à l’édification du Brésil», où vit une importante colonie libanaise qui a émigré depuis le XIXe siècle.
Le Brésil compte environ huit millions d’habitants d’origine libanaise, soit 5% de la population.
Le chef de la diplomatie brésilienne a de nouveau exprimé le souhait que le Liban recouvre «sa souveraineté sur l’ensemble de son territoire et soit capable de jouer un rôle prépondérant au Moyen-Orient».
A la question de savoir pourquoi il n’a pas rendu visite aux chefs des communautés religieuses, M. Lampreia a répondu en soulignant «le principe de la séparation de l’Etat et de l’Eglise» appliqué au Brésil. «Je suis venu au Liban en tant que représentant de l’Etat brésilien. Mes activités devaient donc demeurer dans ce cadre», a-t-il déclaré.
Durant son séjour, M. Lampreia a eu des entretiens avec les chefs de l’Etat, du Parlement et du gouvernement, MM. Elias Hraoui, Nabih Berry et Rafic Hariri.s
Le chef de la diplomatie bresilienne M. LUIZ FELIP lampreia a quitte hier BEYROUTHau terme d ume visite de quatre jours au cours de laquelle il a signe deux accords de cooperation.«J’ai constaté que le Brésil occupe une place impor tante dans le cœur des Libanais. J’ai été accueilli avec beaucoup de chaleur et d’amitié et je pense que ma visite a ouvert une nouvelle...
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