Des passants dans une rue qui mène vers un bureau de vote dans le village de Deir Qanoun el-Naher dans le caza de Tyr, le 24 mai 2025. Sur la gauche, un bâtiment détruit par une frappe israélienne lors du dernier conflit. Photo Matthieu Karam/L'Orient-Le Jour
« Nous sommes venus voter pour protéger la terre… » Massoud Samara, 82 ans, a fait le déplacement depuis Beyrouth pour placer son bulletin dans l’urne dans son village de Marjeyoun. Contrairement à d’autres, qui ont ignoré les appels à la mobilisation professés par le chef du Hezbollah Naïm Kassem dans les jours précédant le scrutin, les bombes n’auront pas eu raison de sa détermination.Alors que l’armée israélienne a pilonné les régions sud jeudi 22 mai et qu’une centaine de conseils municipaux ont été élus d’office suite aux retraits des listes concurrentes, les habitants du sud ont globalement boudé les urnes, ce samedi, à l’occasion du quatrième et dernier jour du scrutin municipal. « Nous sommes viscéralement attachés à cette terre, qui nous appartient », confie Massoud.Oscillant entre 25 % et 40% à la fermeture des...
« Nous sommes venus voter pour protéger la terre… » Massoud Samara, 82 ans, a fait le déplacement depuis Beyrouth pour placer son bulletin dans l’urne dans son village de Marjeyoun. Contrairement à d’autres, qui ont ignoré les appels à la mobilisation professés par le chef du Hezbollah Naïm Kassem dans les jours précédant le scrutin, les bombes n’auront pas eu raison de sa détermination.Alors que l’armée israélienne a pilonné les régions sud jeudi 22 mai et qu’une centaine de conseils municipaux ont été élus d’office suite aux retraits des listes concurrentes, les habitants du sud ont globalement boudé les urnes, ce samedi, à l’occasion du quatrième et dernier jour du scrutin municipal. « Nous sommes viscéralement attachés à cette terre, qui nous appartient », confie Massoud.Oscillant...
On ne peut pas dire que ces élections ont coûté cher au HB. 5 dollars par tête de pipe , on ne parle plus de solde des voix mais de braderie avant fermeture. Pauvres citoyens qu’on affame et qu’on déloge pour mieux les dominer. Ils continuent de voter pour eux, allez comprendre quelque chose à un comportement contre tout bon sens. Voter ses propres tortionnaires est une coutume dans toutes les dictatures du monde. C’est le fruit du lavage de cerveaux subi depuis des décennies.
13 h 05, le 27 mai 2025