Une vue de la soirée. Photo DR
C’est dans l’écrin des jardins Henry et Nadège Obegi, « Sous le ciel de l’ESA », que plus de 300 alumni et partenaires de l’ESA Business School se sont réunis pour la troisième édition d’une soirée désormais emblématique. Un moment chaleureux et féérique, célébrant l’amitié franco-libanaise qui a présidé à la création de cette école, devenue une référence académique.
« Sous le ciel de l’ESA, c’est la promesse d’un Liban debout, solidaire, inventif et rassemblé. C’est aussi un acte de foi dans notre avenir commun. » C’est par ces mots empreints d’optimisme que Maxence Duault a ouvert cette soirée. Le directeur général de l’ESA y a réaffirmé l’importance de ces instants fédérateurs, porteurs d’espoir et de valeurs.
Aux côtés d’Hervé Magro, ambassadeur de France au Liban et coprésident de l’ESA, Maxence Duault a souligné que si l’école continue de se projeter avec confiance, c’est grâce à une communauté engagée, unie autour d’une éducation d’excellence. Il a remercié celles et ceux qui font vivre l’ESA : sa gouvernance, ses alumni et ses partenaires.
L’invité d’honneur, Maxime Chaya, alpiniste et explorateur, a salué l’engagement de l’ESA, qui a su, comme lui dans ses défis, puiser en elle-même la force de se dépasser. Premier Libanais à avoir gravi l’Everest et accompli le défi des sept sommets, il a exprimé sa joie de retrouver une communauté rassemblée et engagée.
Cette soirée a confirmé que la force de l’ESA réside dans le collectif : une énergie partagée au service de l’excellence et de l’avenir du pays. Un hommage a été adressé à l’ensemble des soutiens de l’ESA, et particulièrement aux nombreux sponsors ayant contribué à la réussite de l’événement.
En écho à l’esprit de la soirée, Câline Daher, directrice déléguée réseaux et partenariats de l’ESA et organisatrice de l’événement, a emprunté les mots d’Amin Maalouf : « Ma conviction profonde, c’est que l’avenir n’est écrit nulle part. L’avenir sera ce que nous en ferons. »