Carla Bruni, très présente cette année sur la Croisette. Photo AFP
« Bonsoir, je vous demanderais s'il vous plaît de respecter son espace, touchez-la avec vos yeux. » Le téléphone vissé à l’oreille, un attaché de presse assailli par les messages et les demandes de photographes enchaîne les accroches. L’air anxieux et le visage émacié par le manque de sommeil, il court annoncer aux portiers l’arrivée imminente du talent dont il a la charge ce soir-là. « Vous verrez, elle est un peu connue », lance Hugo, du haut de ses 27 ans et de ses baby heels scintillantes. C’est alors qu’émerge d’une voiture aux vitres teintées la silhouette longiligne d’une grande dame, s’adressant à son chauffeur dans un italien murmuré.En combinaison noire assortie à une cape diamantée signée Elie Saab, Carla Bruni fait, en un claquement de stiletto, tourner les têtes des convives attablés face à leur tartare de saumon. Invitée...
« Bonsoir, je vous demanderais s'il vous plaît de respecter son espace, touchez-la avec vos yeux. » Le téléphone vissé à l’oreille, un attaché de presse assailli par les messages et les demandes de photographes enchaîne les accroches. L’air anxieux et le visage émacié par le manque de sommeil, il court annoncer aux portiers l’arrivée imminente du talent dont il a la charge ce soir-là. « Vous verrez, elle est un peu connue », lance Hugo, du haut de ses 27 ans et de ses baby heels scintillantes. C’est alors qu’émerge d’une voiture aux vitres teintées la silhouette longiligne d’une grande dame, s’adressant à son chauffeur dans un italien murmuré.En combinaison noire assortie à une cape diamantée signée Elie Saab, Carla Bruni fait, en un claquement de stiletto, tourner les têtes des convives...
Comme quoi on pardonne tout à une belle femme.
14 h 40, le 22 mai 2025