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Moyen-Orient - ENTRETIEN

« L’Iran n’est plus au centre des priorités diplomatiques de l’Union européenne »

Ricardo Alcaro, chercheur à l’Istituto Affari Internazionali, répond aux questions de « L'Orient-Le Jour » concernant les négociations entre Washington et Téhéran sur le nucléaire iranien.

« L’Iran n’est plus au centre des priorités diplomatiques de l’Union européenne »

Des représentants de l'Iran (à droite) et de l'Union européenne assistent à une réunion de la commission conjointe sur les négociations visant à relancer l'accord sur le nucléaire iranien, à Vienne (Autriche), le 3 décembre 2021. Photo d'archives AFP

Alors que les États-Unis et l’Iran doivent entamer samedi à Oman un troisième round de discussions sur le programme nucléaire iranien, avec la participation annoncée d’équipes spécialisées chargées d’examiner les paramètres d’un éventuel accord, Téhéran multiplie les initiatives. En proposant notamment une coopération nucléaire avec les États-Unis, mais en refusant fermement de céder sur l’importation d’uranium enrichi, une exigence américaine. D'un autre côté, le président américain Donald Trump a balayé les craintes de se laisser « entraîner » dans une guerre par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, se disant confiant dans la possibilité d’un règlement diplomatique. Dans ce processus, les Européens restent en marge. Signataires historiques de l’accord de Vienne conclu en 2015, Paris, Berlin et Londres n’ont pas été...
Alors que les États-Unis et l’Iran doivent entamer samedi à Oman un troisième round de discussions sur le programme nucléaire iranien, avec la participation annoncée d’équipes spécialisées chargées d’examiner les paramètres d’un éventuel accord, Téhéran multiplie les initiatives. En proposant notamment une coopération nucléaire avec les États-Unis, mais en refusant fermement de céder sur l’importation d’uranium enrichi, une exigence américaine. D'un autre côté, le président américain Donald Trump a balayé les craintes de se laisser « entraîner » dans une guerre par le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, se disant confiant dans la possibilité d’un règlement diplomatique. Dans ce processus, les Européens restent en marge. Signataires historiques de l’accord de Vienne conclu en...
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