Le Secrétaire d'État américain Marco Rubio (au centre) s'entretient avec des journalistes à bord de son avion alors qu'il vole depuis le Suriname en direction de Miami, en Floride, le 27 mars 2025. Photo AFP/ NATHAN HOWARD.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a fait part jeudi des « inquiétudes » de Washington face à l'instabilité en Turquie consécutive à l'arrestation du maire d'Istanbul. « Nous observons. Nous avons exprimé nos inquiétudes. Nous n'apprécions pas de voir une telle instabilité dans la gouvernance d'un pays qui est un si proche allié », a-t-il déclaré à la presse dans un vol le ramenant du Suriname à Miami, en Floride.
M. Rubio a souligné que les États-Unis souhaitaient resserrer les liens avec le président turc Recep Tayyip Erdogan. Le président américain Donald Trump avait « une très bonne relation de travail avec M. Erdogan durant son premier mandat » et souhaiterait « relancer » celle-ci, a-t-il confié.
« Ils (la Turquie, ndlr) sont des alliés au sein de l'Otan. Nous voudrions coopérer avec eux en Syrie et ailleurs », a-t-il ajouté. M. Rubio a confirmé avoir abordé le sujet des manifestations quotidiennes contre l'arrestation du maire d'Istanbul, Ekrem Imamoglu, avec son homologue turc Hakan Fidan, qu'il a reçu mardi à Washington.
Il n'a toutefois pas souhaité commenter les mesures frappant les médias en Turquie, et notamment l'expulsion jeudi d'un journaliste de la BBC, Mark Lowen et l'arrestation lundi du journaliste de l'AFP Yasin Akgül, disant ne pas disposer d'assez d'informations à ce stade.
Le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a fait part jeudi des « inquiétudes » de Washington face à l'instabilité en Turquie consécutive à l'arrestation du maire d'Istanbul. « Nous observons. Nous avons exprimé nos inquiétudes. Nous n'apprécions pas de voir une telle instabilité dans la gouvernance d'un pays qui est un si proche allié », a-t-il déclaré à la presse dans un vol le ramenant du Suriname à Miami, en Floride.
M. Rubio a souligné que les États-Unis souhaitaient resserrer les liens avec le président turc Recep Tayyip Erdogan. Le président américain Donald Trump avait « une très bonne relation de travail avec M. Erdogan durant son premier mandat » et souhaiterait « relancer » celle-ci, a-t-il confié.
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