
L’ancien chef du gouvernement Najib Mikati donnant une interview à l’AFP à Beyrouth le 15 octobre 2024. Anwar Amro/AFP
Un rapport d’une juge du CE, dont « L’Orient-Le Jour » a consulté des extraits, considère illégales des décisions prises par l’ancien Premier ministre au sujet des loyers non résidentiels anciens.
OLJ / Par Claude ASSAF, le 19 mars 2025 à 00h00
L’ancien chef du gouvernement Najib Mikati donnant une interview à l’AFP à Beyrouth le 15 octobre 2024. Anwar Amro/AFP
Bien sur l'antoine propriétaire, après avoir volé les avoirs des déposants, on les finit en libérant les loyers. Messieurs les ministres, la justice sociale et le bien-etre de ceux que vous devez protéger dans une situation économique, initiées par les meme propriétaires qui pour la plupart demandent à continuer de s'enrichir sur le cadavre d'une économie en déroute, devrait vous pousser à refuser de promulguer ce décret, tant que vous n'aurez pas résolu la crise économique.
Il est grand temps de libérer les anciens loyers après soixante-dix ans d 'injustice. Concernant le commerce la loi a déjà expiré en 2022. Publiez de grâce messieurs les ministres cette loi car il n’est plus admissible de voir un locataire ancien qui a tout à gagner face à un propriétaire devenu mendiant .
Bien sur l'antoine propriétaire, après avoir volé les avoirs des déposants, on les finit en libérant les loyers. Messieurs les ministres, la justice sociale et le bien-etre de ceux que vous devez protéger dans une situation économique, initiées par les meme propriétaires qui pour la plupart demandent à continuer de s'enrichir sur le cadavre d'une économie en déroute, devrait vous pousser à refuser de promulguer ce décret, tant que vous n'aurez pas résolu la crise économique.
10 h 25, le 20 mars 2025