
Le dirigeant de facto de la Syrie, Ahmad el-Chareh à Damas, en Syrie, le 30 décembre 2024. Photo Reuters
Ahmad el-Chareh souhaite accélérer la levée des mesures punitives et se tourne vers Moscou.
OLJ / Par Tatiana KROTOFF, le 16 février 2025 à 21h51
Le dirigeant de facto de la Syrie, Ahmad el-Chareh à Damas, en Syrie, le 30 décembre 2024. Photo Reuters
Un exemple de la vision biaisée et à court terme des états ocidentaux : avant de bêler d'extase devant les printemps arabes et la révolution en Syrie, il fallait réfléchir à l'après. C'est pareil avec leur pro-américanisme primaire : face à Trump qui n'est pas leur ami, ils ne savent plus sur quel pied danser. L'avenir se trouve à l'est et au sud...
AHMAD EL-CHAREH EST DANS LE BON CHEMIN. IL NE DOIT RIEN ATTENDRE DES OCCIDENTAUX QUI NE VEULENT PAS RENFORCER LA SYRIE NI FINANCIEREMENT NI MILITAIREMENT. LA RAISON ? ISRAEL ! IL N,A QU,A COOPERER AVEC PUTINE ET MEME AGRANDIR LES BASES RUSSES CHEZ LUI. JE NE LUI CONSEILLE PAS DE TROP S,ENGAGER AVEC ERDOGAN, CA LUI COUTERA CHER. NI MEME AVEC L,IRAN. LA RUSSIE SUFFIRA POUR LUI FINANCIEREMENT ET MILITAIREMENT. JE LUI CONSEILLE AUSSI LA CHINE.
Pathétique le rôle de l occident dans la tragédie syrienne : durant comme aprés la guerre.
Quelle bonne idée que de se retourner vers celui qui cache son ennemi juré.! Tel qu’on le connaît, Poutine va prendre sa revanche en accélérant l'intronisation de celui qu’il n’a pas pu sauver. N’est pas un renard de politique qui veut. Il est sérieux Joulani où est ce un coup de bluff pour faire peur à ceux qui veulent l’aider mais attendent des signaux positifs de sa part pour passer à l’acte?
Quand on voit tous ces barbus alignés lors des réunions, il y a de quoi être prudent. On dit au liban " on lit la lettre à travers son titre ".
La meme chose se pose pour le Liban. Si la Syrie est partitionné. le Liban le sera.
Un exemple de la vision biaisée et à court terme des états ocidentaux : avant de bêler d'extase devant les printemps arabes et la révolution en Syrie, il fallait réfléchir à l'après. C'est pareil avec leur pro-américanisme primaire : face à Trump qui n'est pas leur ami, ils ne savent plus sur quel pied danser. L'avenir se trouve à l'est et au sud...
17 h 03, le 18 février 2025