Le premier vendredi de prière à Damas après la chute du régime de Bachar el-Assad, des milliers de Syriens ont rempli la mosquée des Omeyyades et ses environs. Des hommes, des enfants, mais aussi des femmes, ont prié côte à côte, une scène notable dans un pays désormais dirigé par les rebelles islamistes menés par le groupe Hay'at Tahrir el-Cham (HTC).Alors que le mouvement islamiste consolide son contrôle sur la Syrie post-Assad, les défenseurs des droits des femmes avertissent qu'en l'absence de garanties concrètes, les assurances d'inclusivité et de modération données par HTC pourraient s'avérer superficielles, laissant les femmes marginalisées sous le nouveau régime. Lire aussi Dans la Syrie post-Assad, les alaouites cherchent leur place Dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux depuis mardi, le porte-parole de...