Un drapeau national syrien et un portrait du président syrien Bachar el-Assad déchirés par des combattants antigouvernementaux dans la ville d’Alep, dans le nord de la Syrie, le 30 novembre 2024 . Omar Haj Kadour/AFP
Les images sont d’une puissance inouïe. Partout en Syrie, des statues de Bachar el-Assad et de son père Hafez sont déboulonnées dans une effervescence folle. Les mauvaises langues convoquent le souvenir d’une autre fin, celle de Saddam Hussein. Sauf...
Les images sont d’une puissance inouïe. Partout en Syrie, des statues de Bachar el-Assad et de son père Hafez sont déboulonnées dans une effervescence folle. Les mauvaises langues convoquent le souvenir d’une autre fin, celle de Saddam Hussein. Sauf...
Heureusement que Hafez était un peu misogyne, je me suis documenté et il parait que la seule qui était de la même trempe que lui était sa fille Bouchra et que celle-ci été d’une grande aide à son père mais elle fut decu lorsqu’il a préfèré Basel (tète brulée) puis Bachar qu’elle traitait d’incapable . Cela aurait pu sauver cette dynastie sanguinaire une génération de plus.
22 h 21, le 11 décembre 2024