Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi (à gauche), lors de sa rencontre avec le président iranien Massoud Pezeshkian, à Téhéran, le 14 novembre 2024. Présidence iranienne/Reuters
« Les canaux de communication entre nous et les Américains existent toujours », a déclaré cette semaine le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, comme pour contredire les rumeurs d’une hostilité grandissante entre Washington et Téhéran depuis l’élection de Donald Trump le 5 novembre. Celui qui dépeignait la République islamique en « principal État soutenant le terrorisme » semble lui aussi prêt à discuter, changeant légèrement de ton en fin de campagne, pour envoyer un message conciliant. Deux semaines avant sa victoire, il affirmait lors d’une interview au podcast PBD qu’il souhaitait « voir l’Iran prospérer », qu’il ne chercherait pas le conflit ni à s’ingérer pour mettre fin au régime iranien, ajoutant que le seul problème est « qu’ils ne peuvent pas avoir d’arme nucléaire ». Dans le contexte d’une confrontation...
« Les canaux de communication entre nous et les Américains existent toujours », a déclaré cette semaine le ministre iranien des Affaires étrangères Abbas Araghchi, comme pour contredire les rumeurs d’une hostilité grandissante entre Washington et Téhéran depuis l’élection de Donald Trump le 5 novembre. Celui qui dépeignait la République islamique en « principal État soutenant le terrorisme » semble lui aussi prêt à discuter, changeant légèrement de ton en fin de campagne, pour envoyer un message conciliant. Deux semaines avant sa victoire, il affirmait lors d’une interview au podcast PBD qu’il souhaitait « voir l’Iran prospérer », qu’il ne chercherait pas le conflit ni à s’ingérer pour mettre fin au régime iranien, ajoutant que le seul problème est « qu’ils ne peuvent pas avoir d’arme...
DT va faire comme avec la Corée du Nord, il passez pour un clown et l'Iran en profitera ....
12 h 08, le 18 novembre 2024