Des Palestiniens déplacés ayant fui la partie nord de Gaza dans le cadre de la guerre que mène Israël contre l'enclave, le 12 novembre 2024. Dawoud Abu Alkas/Reuters
C’est l’autre guerre. Elle ne se déroule pas sur le front, mais dans l’enceinte du Parlement. Et elle n’a pas recours aux armes, mais au droit. Jeudi dernier, la Knesset a adopté un projet de loi par 61 voix contre 41 autorisant l’État hébreu à...
C’est l’autre guerre. Elle ne se déroule pas sur le front, mais dans l’enceinte du Parlement. Et elle n’a pas recours aux armes, mais au droit. Jeudi dernier, la Knesset a adopté un projet de loi par 61 voix contre 41 autorisant l’État hébreu à...
Excellent article, parfaitement documenté, qui montre une fois de plus qu'un État colonial à l'extérieur ne peut pas être démocratique à l'intérieur de ses frontières envers les ressortissants originaires des terres occupées. L'apartheid promu par l'État colonial pointe toujours l'altérité rédhibitoire de ces ressortissants, altérité entretenue dans la conscience collective des citoyens "bien nés" et validée par un droit "ad hoc". La France devrait se souvenir de l'Algérie et les États-Unis des valeureuses tribus indiennes... Leur silence sur la situation des Palestiniens est coupable.
16 h 15, le 14 novembre 2024