Un rare passant dans la banlieue sud de Beyrouth sous les bombes israéliennes. Photo Mohammad Yassine.
L’appartement de Mohammad et Nour avait encore besoin de menus arrangements pour être fin prêt. La jeune mariée était contente de sa cuisine en simili bois, son époux s’imaginait déjà installer un plateau télé dans le grand salon au sol marbré et aux murs tapissés de livres. « Nous n’avons passé que quelques jours dedans, je n’avais pas encore fini les derniers travaux quand j’ai dû partir travailler en Irak fin septembre. C’est à ce moment-là que les bombardements massifs d’Israël ont démarré dans la banlieue sud », raconte Mohammad depuis Bagdad, où il a depuis fait venir sa femme et sa mère. Aujourd’hui, Mohammad et Nour font partie des milliers de Libanais ayant dû fuir leur quartier de Bir Abed, dans la banlieue sud à majorité chiite dominée par le Hezbollah, sous le déluge de feu israélien depuis fin septembre. Lundi 21 octobre...
L’appartement de Mohammad et Nour avait encore besoin de menus arrangements pour être fin prêt. La jeune mariée était contente de sa cuisine en simili bois, son époux s’imaginait déjà installer un plateau télé dans le grand salon au sol marbré et aux murs tapissés de livres. « Nous n’avons passé que quelques jours dedans, je n’avais pas encore fini les derniers travaux quand j’ai dû partir travailler en Irak fin septembre. C’est à ce moment-là que les bombardements massifs d’Israël ont démarré dans la banlieue sud », raconte Mohammad depuis Bagdad, où il a depuis fait venir sa femme et sa mère. Aujourd’hui, Mohammad et Nour font partie des milliers de Libanais ayant dû fuir leur quartier de Bir Abed, dans la banlieue sud à majorité chiite dominée par le Hezbollah, sous le déluge de feu...
C'est tout simplement le prix a payer pour lóperation du Hezb SOUTIEN A GAZA! Faut pas se plaindre, toute action provoque une reactuon!
17 h 50, le 23 octobre 2024