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L'extrême droite dénonce une "alliance du déshonneur" privant les Français d'un "gouvernement de redressement"

Le chef du Rassemblement national (RN), parti français d'extrême droite, Jordan Bardella, le 7 juillet 2024. Photo AFP / DIMITAR DILKOFF

Le président du parti français d'extrême droite Rassemblement national, Jordan Bardella, a dénoncé dimanche « l'alliance du déshonneur » qui prive les Français « d'une politique de redressement », alors que son parti est arrivé en troisième position selon les premières estimations au second tour des législatives.

« Le Rassemblement national incarne plus que jamais la seule alternance », a-t-il ajouté, promettant que son parti ne tomberait dans « aucune compromission politicienne » et assurant que « rien ne peut arrêter un peuple qui s'est remis à espérer ». 

Le président du parti français d'extrême droite Rassemblement national, Jordan Bardella, a dénoncé dimanche « l'alliance du déshonneur » qui prive les Français « d'une politique de redressement », alors que son parti est arrivé en troisième position selon les premières estimations au second tour des législatives.

« Le Rassemblement national incarne plus que jamais la seule alternance », a-t-il ajouté, promettant que son parti ne tomberait dans « aucune compromission politicienne » et assurant que « rien ne peut arrêter un peuple qui s'est remis à espérer ».