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Agenda - Communiqué de presse

Leila Solh Hamadé aux côtés de l’Hôtel-Dieu de France et de Kidneyds

Leila Solh Hamadé aux côtés de l’Hôtel-Dieu de France et de Kidneyds

Leila Solh Hamadé au chevet d’une jeune patiente de Kidneyds. Photo DR

La présidente de la Fondation al-Walid ben Talal, Leila Solh Hamadé, s’est rendue à l’hôpital Hôtel-Dieu de France, au chevet des enfants souffrant d’insuffisance rénale. Une démarche qui s’inscrit dans le cadre du protocole de coopération entre la fondation et l’Association libanaise pour les enfants atteints de maladies rénales (Kidneyds). Étaient présents : le recteur de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth et PDG de l’HDF, le père Salim Daccache, le directeur de l’hôpital Nassib Nasr, la présidente de Kidneyds Pauline Abou Jaoudé, ainsi que plusieurs membres du corps médical.

Mme Hamadé s’est rendue au centre de dialyse pour enfants et a eu droit à assister à l’intervention chirurgicale d’un jeune patient. Ensuite s’est tenue une cérémonie officielle pendant laquelle Nassib Nasr s’est félicité de « la relation amicale et familiale » entre l’Hôtel-Dieu et la fondation, réitérant l’engagement de l’établissement auprès des enfants souffrant d’insuffisance rénale.

À son tour, le père Daccache a remercié Leila Solh Hamadé, affirmant que « les enfants ont besoin de l’aide de la Fondation al-Walid ben Talal, surtout dans ces circonstances difficiles que le pays traverse à l’heure actuelle ». « Nous vous remercions pour l’attention particulière que vous portez à la santé des bébés et des enfants », a ajouté le père Daccache à l’adresse de l’ancienne ministre de l’Industrie.

Prenant la parole, Leila Solh Hamadé a assuré que « la lutte contre les maladies est au cœur de la mission de la Fondation al-Walid ben Talal ». Elle a par ailleurs critiqué la défaillance de l’État dans tous les domaines. « Les politiques sont définies en dehors du pays, la sécurité est inexistante, à l’heure où les instances onusiennes n’aident que les réfugiés et migrants, comme le montre l’accord sur le milliard d’euros ». Une référence à l’annonce faite il y a près de deux semaines d’une aide européenne octroyée au Liban dans le cadre de la lutte contre le flux migratoire en direction de l’Europe. Aux yeux de Mme Solh « la démarche a prorogé le contrat de location du pays ».

Pour sa part, Pauline Abou Jaoudé a déclaré que grâce au partenariat scellé il y a 10 mois entre la fondation et Kidneyds, une trentaine d’enfants ont pu être guéris de leurs maladies rénales. Même avis exprimé par le Dr Victor Gébara, qui s’exprimait au nom de Heartbeat, une association qui s’occupe des enfants souffrant de maladies cardiaques. « Grâce à la fondation, nous viendrons en aide à 300 jeunes patients », a-t-il dit.

La présidente de la Fondation al-Walid ben Talal, Leila Solh Hamadé, s’est rendue à l’hôpital Hôtel-Dieu de France, au chevet des enfants souffrant d’insuffisance rénale. Une démarche qui s’inscrit dans le cadre du protocole de coopération entre la fondation et l’Association libanaise pour les enfants atteints de maladies rénales (Kidneyds). Étaient présents : le recteur de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth et PDG de l’HDF, le père Salim Daccache, le directeur de l’hôpital Nassib Nasr, la présidente de Kidneyds Pauline Abou Jaoudé, ainsi que plusieurs membres du corps médical.Mme Hamadé s’est rendue au centre de dialyse pour enfants et a eu droit à assister à l’intervention chirurgicale d’un jeune patient. Ensuite s’est tenue une cérémonie officielle pendant laquelle Nassib Nasr...