Pourquoi la Turquie intensifie ses frappes contre les factions kurdes
En guerre contre les combattants du PKK depuis des décennies, Ankara semble redoubler d'efforts dans la lutte contre ses différentes composantes en Syrie et en Irak.
OLJ / Par Clara HAGE,
le 26 septembre 2023 à 16h32
La police turque se tient près d'un bâtiment où deux policiers ont été retrouvés abattus à leur domicile le 22 juillet 2015 dans la ville turque de Ceylanpinar, lors d'une attaque revendiquée par le PKK. Bulent Kilic/AFP |
Ce n’est « qu’un début » prévenait Hakan Fidan, ministre turc des Affaires étrangères, le 6 septembre dernier. Fin août, deux drones turcs ont tué sept combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), classé terroriste par Ankara, Bruxelles et Washington, dans la région autonome du Kurdistan irakien, en parallèle de la visite officielle du chef de la diplomatie à Erbil. « Nous mettons en garde contre de plus graves répercussions », poursuivait le ministre, ancien chef des services de renseignements, peu après plusieurs affrontements meurtriers entre combattants proturcs et forces kurdes dans le nord de la Syrie. Depuis la réélection de Recep Tayyip Erdogan à la présidence turque en mai dernier, les signes d’hostilité d’Ankara à l’égard des factions kurdes à la frontière syrienne ainsi que dans le nord irakien grimpent en flèche....
Ce n’est « qu’un début » prévenait Hakan Fidan, ministre turc des Affaires étrangères, le 6 septembre dernier. Fin août, deux drones turcs ont tué sept combattants du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), classé terroriste par Ankara, Bruxelles et Washington, dans la région autonome du Kurdistan irakien, en parallèle de la visite officielle du chef de la diplomatie à Erbil. « Nous mettons en garde contre de plus graves répercussions », poursuivait le ministre, ancien chef des services de renseignements, peu après plusieurs affrontements meurtriers entre combattants proturcs et forces kurdes dans le nord de la Syrie. Depuis la réélection de Recep Tayyip Erdogan à la présidence turque en mai dernier, les signes d’hostilité d’Ankara à l’égard des factions kurdes à la frontière syrienne ainsi que dans...
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- LA PEUR DES KURDES QUI LE TRACASSE, - DONNE A ERDOGAN DES SUEURS FROIDES. - CAR SI LEUR REBELLION CHEZ LUI PASSE, - IL NAITRAIT EN TURQUIE DES MYRIADES, - DE PETITS ETATS A CHAQUE LIEU. - QUI DIRAIENT A L,OTTOMAN : ADIEU !
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15 h 18, le 27 septembre 2023