
Photo-montage Guilhem Dorandeu
Alors que l’étau se resserre autour du patron de la BDL, certains observateurs pointent du doigt ses interactions longtemps inavouées avec le parti de Dieu. Une alliance de l’ombre qui pourrait expliquer comment l’édifice politico-financier a pu tenir aussi longtemps.
OLJ / Par Stéphanie KHOURI, le 30 mai 2023 à 00h00
Photo-montage Guilhem Dorandeu
C une analyse qui demontre la complexité du systeme financier libanais . Riad Salamé n'en est qu'un des elements ...
Assez du bla bla bla le peuple souffre ???
La vérité se dévoile.
Vous poussez vos lecteurs fidèles à renoncer à leur abonnement d’après ce je lis et moi la première.
C'est bien plutôt avec Berri que Salamé a été complice , pa avec le Hezb !
Vous poussez
Ils sont amis comme cochons sinon Salame aurait giclé dès le premier trimestre. L’OLJ je ne vous remercie pas pour avoir censuré mon 1er commentaire. Vous pousser le bouchon un peu trop loin
J'avais oublié de rajouter; que le coup de maître des illusionnistes était de nous faire croire que l'équilibre de la balance des paiements en USD, toujours toujours équilibrée à merveille, était du fait des aides des immigrés à leurs familles. Or les libanais de l'étranger envoyaient la majorité de cet argent à leurs propres comptes en banques et non pas à leurs familles. Donc Monsieur lambda n'avait aucune raison de s'inquiéter, car il pensait à tort que l'argent qui rentrait en aide finançait les importations en monnaies étrangères.
Les magiciens n'existent pas, plutôt des illusionnistes. Tous les soi-disant experts en politique du M.O. dans les instituts étrangers, devraient avoir l'humilité au moins de se taire, au lieu de nous abreuver de leurs analyses à deux balles et inutiles. Pourquoi personne, mais vraiment personne, n'a alerté à temps l'opinion publique internationale et libanaise sur le massacre continuel des avoirs des déposants? Il y a même un ministre qui a essayé de modifié le libellé des contrats de dettes pour mieux nous préparer à négocier avec les débiteurs, au moment du défaut de l'Etat, qu'il voyait certainement venir. Cette personne convoitait la présidence !!! Jihad Azour n'est pas un nouveau venu à la politique du pays, il était ministre de 2005 à 2008, ........il savait où nous allions.....il ne pouvait pas ne pas le savoir en tant que ministre des finances....La duperie du peuple libanais continue et se magnifie par la puissance des médias, qui refabriquent la virginité des uns et des autres pour nous les lancer dans la figure. A mon humble avis seul Nehmat Frem a le potentiel de sauver le pays s'il est élu président.
Le systeme mafieux a besoin des deux. L'un est le "comptable" en charge de la repartition et du blanchiment du fruit des rapines. Les autres sont les "soldati" en charge des basses oeuvres.
Le seul fait d'avoir fermé les yeux sur le développement exponentiel de l'association al kard Al khassan en dit long sur la relation de caractère douteux entre eux... Cet acqoquinement de caractère troublant devrait être assimilé a une association de malfaiteurs ... Malheureusement nous sommes au Liban, avec nos propres particularités...
Et voila que l’édifice s’écroule. Rien ne reste caché longtemps. Après avoir bradé nos eaux territoriales, suivront nos terres au sud et comme le Hezbollah ne servira plus a rien et a personne, il sera éliminé en bonne et du forme sans crier gare et la boucle est bouclée.
Le monstre a deux têtes : Mafia et Iran. D’où son invincibilité .
Excellent article, factuel et lucide. À qui profite Sayrafa et la circulaire 165? Tout est clair.
Complicité inavouée de façon bien plus large, entre le haririsme dont Mr Salamé est ni plus ni moins que le fleuron, et le Hezbollah. Exactement comme entre le aounisme et le Hezbollah. Ainsi Riad Salamé a refusé de faire son travail contre Al Qard el Hassan exactement comme l’a fait Ghada Aoun fleuron du aounisme.
C une analyse qui demontre la complexité du systeme financier libanais . Riad Salamé n'en est qu'un des elements ...
14 h 57, le 31 mai 2023