Le président turc Recep Tayyip Erdogan et son homologue russe Vladimir Poutine au lancement du projet de centrale nucléaire d'Akkuyu à Ankara, le 3 avril 2018. Photo Adem Altan/AFP
Jeudi dernier, alors qu’il inaugurait la centrale nucléaire turque d'Akkuyu, construite par l’entreprise publique russe Rosatom, Vladimir Poutine a qualifié son homologue turc de dirigeant aux « objectifs ambitieux » par visioconférence. Celui que le dirigeant turc se plaît à désigner comme son « cher ami » paraît ainsi avoir fait son choix pour les prochaines élections générales qui se tiendront le 14 mai, alors que Recep Tayyip Erdogan est au coude-à-coude dans les sondages avec Kemal Kiliçdaroglu, le candidat de l’opposition. Car, malgré leurs différends, notamment en Syrie ou en Libye, le Kremlin privilégie le président sortant. C’est en tout cas ce que semblent indiquer les récentes actions du président russe et les tentatives orchestrées par Moscou de rapprochement entre le pouvoir turc et Bachar el-Assad.Relation Privilégiée
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Jeudi dernier, alors qu’il inaugurait la centrale nucléaire turque d'Akkuyu, construite par l’entreprise publique russe Rosatom, Vladimir Poutine a qualifié son homologue turc de dirigeant aux « objectifs ambitieux » par visioconférence. Celui que le dirigeant turc se plaît à désigner comme son « cher ami » paraît ainsi avoir fait son choix pour les prochaines élections générales qui se tiendront le 14 mai, alors que Recep Tayyip Erdogan est au coude-à-coude dans les sondages avec Kemal Kiliçdaroglu, le candidat de l’opposition. Car, malgré leurs différends, notamment en Syrie ou en Libye, le Kremlin privilégie le président sortant. C’est en tout cas ce que semblent indiquer les récentes actions du président russe et les tentatives orchestrées par Moscou de rapprochement entre le pouvoir turc et Bachar...
C'est pour ça qu'il lui a offert l'Arménie
11 h 44, le 05 mai 2023