Édito Édito

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L’Orient littéraire fête son 200e numéro ! Malgré les vents contraires, les désastres, la dépréciation de la livre, notre supplément a vaillamment résisté grâce à la ténacité de son équipe composée d’éminents écrivains ou journalistes libanais ou français.

Le bilan ? L’Orient littéraire est désormais considéré comme une référence et a reçu les éloges de ses homologues français ; il est lu par des milliers de lecteurs dans le monde, aussi bien sur support papier ou en ligne.

Son ambition ? Garder le cap, mieux faire connaître la littérature libanaise, donner la parole aux auteurs venus d’Orient ou d’Occident et créer des passerelles entre les différentes cultures, à l’image de l’Académie française qui vient d’accueillir en son sein l’écrivain péruvien Mario Vargas Llosa, militer en faveur de la liberté d’expression, ne pas négliger la poésie injustement absente de la plupart des médias, et garder vivante la francophonie – si bien défendue par le regretté Lucien George à qui nous rendons hommage dans ce numéro.

Comment, enfin, ne pas avoir une pensée pour trois de nos piliers récemment disparus : Jabbour Douaihy, Farès Sassine et Melhem Chaoul ? Ils nous manquent cruellement et si nous poursuivrons l’aventure, c’est aussi pour continuer à faire rayonner les idéaux auxquels ils ont toujours cru.


L’Orient littéraire fête son 200e numéro ! Malgré les vents contraires, les désastres, la dépréciation de la livre, notre supplément a vaillamment résisté grâce à la ténacité de son équipe composée d’éminents écrivains ou journalistes libanais ou français. Le bilan ? L’Orient littéraire est désormais considéré comme une référence et a reçu les éloges de ses...

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