Le rap arabe est enfin sorti de son statut de niche
Bu Kolthoum et Saint Levant étaient les têtes d’affiche de la dixième édition du festival Quoz Arts Fest sur Alserkal Avenue, le quartier culturel de Dubaï qui a drainé plus de 34 000 visiteurs le dernier week-end de janvier.
Bu Kolthoum, rappeur syrien star, oscille entre rage et vulnérabilité en rappant ses émotions. Photo DR
« C’est simple, le rap arabe, ça vient du peuple et c’est pour le peuple », lance Taha, la vingtaine. Le Syrien, installé à Dubaï depuis trois ans, tente de se faufiler parmi la foule. Il veut voir son « icône du rap arabe » de...
« C’est simple, le rap arabe, ça vient du peuple et c’est pour le peuple », lance Taha, la vingtaine. Le Syrien, installé à Dubaï depuis trois ans, tente de se faufiler parmi la foule. Il veut voir son « icône du rap arabe » de...
Abonnez-vous pour 99$/an au lieu de 169$.
Retrouvez tous nos analyses, décryptages, reportages et bien plus encore !
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
commentaires (0)
Commenter