Saad Hariri toujours incontournable et... indésirable
L’ancien Premier ministre, qui s’est retiré de la vie politique il y a un an jour pour jour, est attendu à Beyrouth le 14 février prochain, mais son retour sur la scène politique dépend avant tout d’un feu vert saoudien qui ne vient pas.
OLJ / Par Salah Hijazi, le 24 janvier 2023 à 00h00
Une affiche à Beyrouth, en mai dernier, appelant au boycott des élections législatives en soutien à Saad Hariri. Photo João Sousa
Il était une fois Saad Hariri ? Le 24 janvier 2022, il y a exactement un an, le patron du courant du Futur annonçait, les larmes aux yeux, son retrait de la vie politique. Celui qui était le principal – voire le seul – leader de la communauté...
Il était une fois Saad Hariri ? Le 24 janvier 2022, il y a exactement un an, le patron du courant du Futur annonçait, les larmes aux yeux, son retrait de la vie politique. Celui qui était le principal – voire le seul – leader de la communauté...
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T'es pas bien à Abou Dhabi ? loin des chacals et de la chienlit ..
OBEGI CHARLES
17 h 20, le 17 février 2023
Merci Mr Abdulrahim pour votre commentaire, vous avez vu juste et vos propos sont pertinents!
CW
02 h 35, le 01 février 2023
Le probleme avec ce pauvre Saad ce n'est pas sa popularite mais son IQ.
Michel Trad
18 h 08, le 24 janvier 2023
Les libanais sont les seuls responsables de leur malheur. Les commentaires sont un exemple flagrant. A propos des Saad hariri quelqu’un peut me dire quels sont les critères qu’il possède pour devenir un représentant ou à plus forte raison premier ministre d’un pays en faillite économique et politique? Quand ce pays et son intelligentsia vont poser les bonnes questions? Vous parlez de la rue « sunnite » , récemment, j’ai vu à la TV un monsieur connu qui hurlait « oui, je suis chrétien » il est où le Liban dans tout cela. Les chefs de la mafia communautaire continuent à diviser les libanais pour se partager les gâteaux. Et le peuple suit et va directement dans le mur…. J’aurais aimé qu ‘on parle de la rue libanaise qui regarde le retour d’un dirigeant x ou y en fonction de ses compétences et non de sa richesse, de sa banqueroute…..la mentalité d’un peuple mendiant doit être remplacé par un debat sur le retour des critères de « fierté » d’être libanais, de fierté de gagner honnêtement sa vie par son travail et non par le vol pratiqué par toutes les administrations…..bref, le plan « kissinger » cher au cœur de feu Raymond edde qui consistait à diviser le proche orient en tribus pour assurer la pérennité d’israel a été bien appliqué au Liban, même par ceux qui se disent être anti américains, Mafia quand tu nous tiens….. il n’y a plus d’état…..partout où on regarde on ne trouve que des lambeaux d’état ancien et des tribus puissants, vive la rue « sunnite » chiite, maronite .
HIJAZI ABDULRAHIM
12 h 00, le 24 janvier 2023
Avant de tourner casaque, en s'éloignant radicalement de la pensée "Haririenne", pactisant avec le parti de dieu, il a contribué à effriter la représentation des sunnites au parlement qui bénéficiaient d'un pouvoir décisionnel, dans un sens comme dans l'autre .... Maintenant les sunnites sont réduits à une portion congrue du pouvoir ( c'est le hezbollah qui dicte la conduite politique de mikati, prêt à avaler toutes les couleuvres afin d'assouvir ses ambitions poltiques). Le costume de premier ministre à toujours été trop large à porter pour lui... Et il ne pourra jamais infléchir la politique Saoudienne vis à vis du Liban
C…
09 h 35, le 24 janvier 2023
Le Liban est tiraillé entre 4 forces externes. Iran, Arabie, US, France.
Des enjeux différents selon: Securite Israel, nucléaire Iran, gaz et pétrole, accord d’Abrahams, Contrôle de la Syrie, Russie,…
La neutralité active du Liban est un MUST.
T'es pas bien à Abou Dhabi ? loin des chacals et de la chienlit ..
17 h 20, le 17 février 2023