
Le militant iranien de la liberté d'expression Hossein Ronaghi, 37 ans, dans un lit d'hôpital, le 14 novembre, à Téhéran. Photo AFP
L’emprisonnement arbitraire permet à Téhéran d’étouffer toute velléité de contestation, la peine de mort d’en éliminer toute trace. Or les preuves des crimes commis dans les geôles iraniennes s’accumulent dans l’espoir ténu d’une justice pour les victimes.
OLJ / Par Emmanuel HADDAD, le 17 novembre 2022 à 00h00
Le militant iranien de la liberté d'expression Hossein Ronaghi, 37 ans, dans un lit d'hôpital, le 14 novembre, à Téhéran. Photo AFP
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