L’emprisonnement arbitraire permet à Téhéran d’étouffer toute velléité de contestation, la peine de mort d’en éliminer toute trace. Or les preuves des crimes commis dans les geôles iraniennes s’accumulent dans l’espoir ténu d’une justice pour les victimes.
Le militant iranien de la liberté d'expression Hossein Ronaghi, 37 ans, dans un lit d'hôpital, le 14 novembre, à Téhéran. Photo AFP
Les réseaux sociaux iraniens regorgent de leurs visages rieurs ou défiants aux côtés de messages magnifiant leur courage et leur joie de vivre. Ils sont jeunes, mais c’est au passé que les récits de leurs courtes vies défilent par écrans interposés....
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