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Politique - Éclairage

Souheil Abboud vs Michel Aoun : le bras de fer des « présidents »

Le patron du Conseil supérieur de la magistrature est dans le viseur du camp aouniste qui veut le faire plier dans l’affaire de la double explosion au port de Beyrouth. La bataille se poursuit et le chef du CSM vient de marquer un coup.

Souheil Abboud vs Michel Aoun : le bras de fer des « présidents »

Le président du CSM, Souheil Abboud : « Ma mission de magistrat est plus noble que toute autre. » Photo CSM

Jamais un président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) n’avait subi autant de pressions. Dans un pays où la séparation des pouvoirs n’existe pratiquement plus que dans la Constitution, Souheil Abboud livre un combat permanent depuis le...
Jamais un président du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) n’avait subi autant de pressions. Dans un pays où la séparation des pouvoirs n’existe pratiquement plus que dans la Constitution, Souheil Abboud livre un combat permanent depuis le...

commentaires (11)

Bravo au Président du CSM. Il faut tenir bon face à une classe politique criminelle et corrompue !

Joseph KHOURY

19 h 20, le 11 octobre 2022

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Commentaires (11)

  • Bravo au Président du CSM. Il faut tenir bon face à une classe politique criminelle et corrompue !

    Joseph KHOURY

    19 h 20, le 11 octobre 2022

  • 20 jours encore et il déménageront leurs tas de fumier pour aller chanter ailleurs, ouf !

    Christine KHALIL

    19 h 07, le 11 octobre 2022

  • Dans ce bordel on ne sais plus qui est au service de qui et qui est vendu à quel pays. C’est hélas ça qu’est devenu notre pays un foutoir où chacun veut être le coq sur l’autre. Quant au pays ils ne savent même pas qu’il existe, ils sont venus par ce qu’il y avait de la lumière et ont pris le soin de la confisquer pour leur propre pomme. Le peuple se retrouvé privé de tout ses droits élémentaires avec un poulailler sans président ni PM, ni justice ni infrastructures ni peuple ni politiciens. On se demande par quelle miracle il continue à tenir et à s’appeler un pays.

    Sissi zayyat

    15 h 50, le 11 octobre 2022

  • Le CPL est pourri. Si une personne n’obéit pas à leurs DÉSIDÉRATAS ? Ils sont accusés de corrompus. Tout comme leurs maîtres du Hezbollah : toute personne qui n’appuie pas leurs orientations et décisions,? C’est un traître. Tout ce qui ressemble s’assemble dit-on

    LE FRANCOPHONE

    15 h 02, le 11 octobre 2022

  • Les juges viennent du terreau pourri de notre société, hélas !

    Citoyen Lambda

    13 h 32, le 11 octobre 2022

  • Yallah...encore 20 jours = 480 heures...oui...oui...!!!...nous en sommes à compter les heures qui nous restent à supporter cette calamité nationale avec titre et son extension par alliance, ainsi que tous leurs courtisans rampants, car aveuglés par leurs intérêts personnels. Le vrai patriotisme...connaissent pas !!! - Irène Saïd

    Irene Said

    10 h 58, le 11 octobre 2022

  • Un juge intègre, dont le projet de nominations judiciaires avait été torpillé par Marie-Claude Najm et puis Michel Aoun. Depuis le camp aouniste fait tout pour faire plier la justice à ses desiderata et, de ce fait, la pervertir. Il faut à tout prix défendre ces piliers de l’éthique libanaise dont fait partie Souhail Abboud. Sinon nous abandonnerons le pays à de petites gens dont les valeurs se résument à une allégeance à un chef

    AFL

    10 h 43, le 11 octobre 2022

  • Dallas, ton univers impitoyable disait la chanson ... Mais au Liban on vole la vedette à toutes les séries de ce genre . Je vais proposer de ce pas un scénario à Netflix avec tout ce que je pourrais raconter sur nos pourritures il y en a pour toute une vie

    Zeidan

    10 h 33, le 11 octobre 2022

  • Au Liban, le gouvernement des pourris, des imbéciles et des ignares est une plaie encore bien plus grande …. Hélas …

    JB El catalán

    10 h 29, le 11 octobre 2022

  • M. Abboud se réveille bien tard et après s’être compromis en acceptant la désignation d’un juge suppléant. Sursaut salutaire néanmoins mais de grâce l’OLJ, ne l’appelez ni « patron » ni « chef »: il n’est ni patron d’entreprise, ni chef de clan mais président d’une haute instance judiciaire.

    Marionet

    08 h 48, le 11 octobre 2022

  • Quel que soit le pays, le "gouvernement des juges" est une véritable plaie.

    Zoulou

    03 h 47, le 11 octobre 2022

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