Le peloton du Tour de France cycliste longeant la côte d’Opale, au nord de l’Hexagone, au départ de la 4e étape entre Dunkerque et Calais. Gonzalo Fuentes/Reuters
De retour sur le vélo après l’avion, le peloton du Tour de France cycliste (la Grande Boucle) a pris hier mardi le départ de la 4e étape à Dunkerque, emmené par le maillot jaune Wout Van Aert.
Toujours pas victorieux après trois 2es places en autant d’étapes au Danemark, Wout Van Aert – rouleur-sprinteur de l’équipe Jumbo-Visma – arrive en terrain encore plus favorable. La boucle de 171,5 km entre Dunkerque et Calais offre un parcours plus sélectif sillonnant les monts des Flandres et du Boulonnais. Six côtes (toutes classées en 4e catégorie) parsèment le tracé, dont la dernière, celle du cap Blanc-Nez, à 11 km de la ligne d’arrivée, peut servir de rampe de lancement aux puncheurs ou à faire céder les plus lourds sprinteurs. « Les sprinteurs devraient pouvoir passer la dernière montée », estimait au départ de l’étape le cycliste Mathieu van der Poel.
Le peloton du Tour de France cycliste passant sous la porte de Cassel, dans la ville de Bergues, hier, lors de la 4e étape entre Dunkerque et Calais. Thomas Samson/AFP
Le vent, s’il se levait contrairement à ce qu’annonçaient les prévisions météo, pourrait jouer un rôle dans les 25 dernières bornes longeant la côte d’Opale. L’arrivée était prévue à Calais vers 17h24 (18h24 au Liban, l’horaire étant calculé à 44 km/h de moyenne).
Source : AFP
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