
De jeunes étudiants manifestant dans les rues de Beyrouth, lors du soulèvement du 17 octobre, le 7 novembre 2019. Photo AFP
À quelques jours des élections législatives, prévues le 15 mai, focus sur celles et ceux qui défient l’autorité familiale en se rebellant contre les partis traditionnels.
OLJ / Lyana ALAMEDDINE et Salah HIJAZI, le 10 mai 2022 à 00h00
De jeunes étudiants manifestant dans les rues de Beyrouth, lors du soulèvement du 17 octobre, le 7 novembre 2019. Photo AFP
Vous continuez à nous rebattre les oreilles au sujet de cette thawra comme si c'était le grand succès. Depuis le maléfique 16 octobre 2019 le pays n'a pas connu un jour de répit . Aujourd'hui il est sur la paille .
La jeunesse c’est l’avenir de notre Pays ; Que Dieu tout-puissant les bénit.
JE NE COMMENTE PLUS QUE TRES RAREMENT. MES COMMENTAIRES MEME LES PLUS BENINS SANS CRITIQUE ET JAMAIS D,INSULTE SONT PRESQUE TOUJOURS CENSURES. A QUOI BON PERDRE MON TEMPS. C,EST LA DEMOCRATIE ET LA LIBRE EXPRESSION COMME VUES ET COMPRISES PAR L,OLJ.
C’est très intéressant de lire qu’il y a des jeunes qui arrivent à se faire une opinion et d’avoir une propre identité politique loin des clichés et des croyances de leurs parents qui eux ne peuvent pas être objectifs en raison de leurs expériences vécues pendant la guerre.
Ne prenez pas trop vos rêves pour une réalité … ceux là ne représentent qu’une infime partie de la population !! Puisque nous parlons des 10452 km 2 …
Vous continuez à nous rebattre les oreilles au sujet de cette thawra comme si c'était le grand succès. Depuis le maléfique 16 octobre 2019 le pays n'a pas connu un jour de répit . Aujourd'hui il est sur la paille .
21 h 56, le 10 mai 2022