
Le directeur de la Sécurité de l’État, le général Tony Saliba, reçu par le président de la République Michel Aoun. Photo d’archives Dalati et Nohra
Baabda précise que la nomination du directeur général de la Sécurité de l’État a été faite au nom de la « continuité du travail de l’administration ».
OLJ / Par Salah HIJAZI, le 15 mars 2022 à 20h05
Le directeur de la Sécurité de l’État, le général Tony Saliba, reçu par le président de la République Michel Aoun. Photo d’archives Dalati et Nohra
pourquoi encore parler ethique, constitution, lois ?
Aoun a conduit et reconduit Tony Saliba. Le peuple éconduira Aoun/ son Bof-fils et le CPL. Et la boucle sera bouclée… point final !
Aoun nommé Saliba en route connaisse de cause, non pas pour assurer le travail administratif mais pour donner le coup de grâce à tous les libanais qui espéraient un retour à la raison de leur chef d’état sénile mais oh combien efficace dans la destruction de son pays. En regardant de près, tous les repris de justice briguent des mandats et non des moindres dans ce régime de pourris vendus pour achever leur mission d’anéantissement pour les beaux yeux du barbu qui vient à leur secours lorsqu’ils se retrouvent rejetés par la société libanaise qui a toujours aspiré à les remplacer et c’est juste pour provoquer et montrer à tous les patriotes que le boss c’est lui et lui seul dans ce bordel que les médias appellent état républicain. Aoun est toujours le premier responsable du désastre que vivent les libanais et il est bien vissé à son fauteuil sans que quelqu’un ait son mot à dire. Il fallait commencer par sa destitution pour donner l’exemple et arriver à purger le pays de tous les traitres assassins qui continuent à exercer leur travail de sape mandatés par les loubards qui les nomment pour exaucer leur vœux et nous anéantir. La faute revient au peuple qui ne s’est toujours pas uni pour les chasser du temple. On ne peut pas tuer un peuple qui réclame son droit de vivre décemment. Encore faut il qu’il ait un peuple et que ce dernier connaisse ses droits et ses devoirs pour ériger un état digne de ce nom. Peuple, où est tu?
" Le général Saliba est d’ailleurs loin d’être un cas à part. Le général Abbas Ibrahim (proche du Hezbollah), contre lequel le juge d’instruction a également souhaité engager des poursuites dans le cadre de l’enquête sur le drame du port, reste implacablement directeur général de la Sûreté générale. Les députés berrystes Ghazi Zeaïter et Ali Hassan Khalil se présentent également aux élections législatives de mai". Et alors ? Cela justifie qu'un accusé de négligences graves puisse rester à sa place? En effet c'est une insulte aux parents des victimes, et même s'il est présumé innocent, il devrait s'écarter par décence. Mais on n'est pas à une insulte près dans ce pays pas comme le autres.
Mais Saliba n'avait il pas comparu trois fois devant le Juge Sawan et n'est ce pas que c'est son équipe via le ' lieutenant Naddaf '' et qui est présente au port depuis fin 2019 qui avait investigué pour remonter le sujet du stock du nitrate à des responsables militaires et à différents responsables politiques . Le lieutenant Naddaf de l'équipe de Saliba n'a t il pas été libéré par le Juge Bitar ? . Donc Trop de questions sur le sujet .
"La continuité du travail administratif" ! Vu l'état de l'administration, personne ne risque le burn out !
Tout ce qui interesse le president et les autres politiciens minables c’est se partager les fonctions meme sur les cendres du Liban. Quelle honte et quel malheur pour les Libanais d’etre gouvernés par des incapables et des pourris sans foi ni loi.
Exemple type des pratiques et des magouilles de nos politiciens
Tffffeh
Quelle honte quelle infamie! Pays de banane. Pays failli. Zero espoir
"la nomination de Tony Saliba est une insulte aux parents des victimes,". Une gifle, oui!
Aoun aura réussi jusqu'au dernier souffle à présider la république bananière du Aounistan, qu'il a rêvée et adoubée de tous ses voeux. Il aura marqué l'histoire du pays des cèdres par son affection du clientélisme, de la corruption et des conflits d'intérêts. Il est tellement sûr de lui même qu'il ne se doute guère que l'histoire aura du mal à trouver de raisons pour le citer, tellement son nom est synonyme de rien.
Reflection surréaliste 1 : "Toutefois, du côté de Baabda, on affirme n’avoir jamais eu l’intention d’offenser les parents des victimes", Logique et compréhensible, baabda, tout en sirotant le thé ceylanais, n'avait aucune idée de l'existence des victimes et, dixit un haut placé, "Je ne suis pas responsable! Je ne savais pas où c'était stocké". Les victimes, de ce point de vue, n'existaient même pas et de même que leurs proches. Réflection surréaliste 2 : « La nomination du général Saliba avait pour seul objectif d’assurer la continuation du travail administratif »... dans cette logique on garderait présidents, ministres, députés et autres énergumènes pour assurer la continuation du travail administratif aussi désastreux qu'ils soient...qui a besoin d'élections ou de nominations après tout...???
Cette re-nomination confirme, s'il etait besoin, la responsabilite directe de Saliba dans la protection des criminels responsables de l'explosion du port.
Tous des criminels à éliminer. Ils osent cacher un génocide d une ville et de son port.
Un grand défi à la justice par celui qui est cencé la respecter . Dans tout autre pays démocratique , normalement, c'est monsieur Saliba qui démissionne de son propre gré en attendant le jugement.
Pauvre peuple libanais. Les politiciens que vous avez votés en 2016 et 2018 n’ont pas honoré leur serment. Tâchez de bien choisir cette fois!
Ben oui ! Nos dirigeants se font un point d'honneur d'ignorer ce qu'est la honte ...
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commentaires (19)
pourquoi encore parler ethique, constitution, lois ?
Gaby SIOUFI
08 h 48, le 17 mars 2022