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Politique

Le CSC met en garde contre « une justice vindicative »

Dans un communiqué qu’il a fait paraître hier, le Conseil supérieur chiite a indirectement entériné l’attaque du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah la veille contre le juge Tarek Bitar. Tout en exprimant sa solidarité avec les familles des victimes de l’explosion du 4 août 2020 et leur quête de la vérité, il a contesté la procédure du juge d’instruction, « qui s’éloigne jour après jour du cours de la justice à travers ses décisions sélectives et arbitraires qui ont consacré la suspicion à son encontre ».

L'éditorial de Issa Goraïeb

Le glaive et le boomerang

Le CSM s’est dit ensuite « surpris par le mutisme des autorités judiciaires supérieures et s’interroge sur ce qui les empêche de rectifier le tir avant qu’il ne soit trop tard et que des événements imprévus ne se produisent, à cause de l’absence de justice et de la primauté des réactions instinctives chez celui qui est supposé assurer cette justice, mais qui se laisse aller aux préjugés et aux jugements importés », laissant ainsi entendre que le magistrat se laisse influencer par les États-Unis, accusés par le Hezbollah d’user de pressions sur le juge d’instruction.

Dans un communiqué qu’il a fait paraître hier, le Conseil supérieur chiite a indirectement entériné l’attaque du secrétaire général du Hezbollah Hassan Nasrallah la veille contre le juge Tarek Bitar. Tout en exprimant sa solidarité avec les familles des victimes de l’explosion du 4 août 2020 et leur quête de la vérité, il a contesté la procédure du juge d’instruction,...

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Les terroristes renversent l’argument et la responsabilité…

LeRougeEtLeNoir

17 h 27, le 13 octobre 2021

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  • Les terroristes renversent l’argument et la responsabilité…

    LeRougeEtLeNoir

    17 h 27, le 13 octobre 2021

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