Rechercher
Rechercher

Politique - Etats-Unis

Biden prolonge pour un an "l'état d'urgence nationale" par rapport au Liban

"Certaines activités, comme le transfert continu d’armes iraniennes au Hezbollah (...) continuent de représenter une menace extraordinaire et inhabituelle pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis".

Biden prolonge pour un an

Le président américain Joe Biden. Photo d'archives AFP

Le président américain, Joe Biden, a décidé mardi de prolonger pour un an, ce qui est connu comme "l’état d’urgence nationale par rapport au Liban", décrété par les États-Unis depuis 2007. La même mesure avait été prise à la même époque en 2020. Il s’agit d’un document qui évoque "une menace extraordinaire et exceptionnelle contre la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis".

Le document publié le 20 juillet par la Maison Blanche souligne comme l’an dernier, l’argument selon lequel "les comportements de certaines personnes minent l’action du gouvernement légitime et démocratiquement élu et des institutions démocratiques, ce qui provoque le délitement progressif de l’État de droit, notamment par le biais de violences à motivation politique et d’intimidation". Il critique des actions visant "à empiéter sur la souveraineté libanaise ou à la saper", notamment en contribuant "à l'ingérence syrienne au Liban". "Ces actions contribuent à l’instabilité politique et économique du Liban dans la région", lit-on également dans le texte.

Pour mémoire

Washington voudrait renforcer l'armée libanaise "pour contrer le Hezbollah"

Dans une référence encore plus claire au Hezbollah, le communiqué cite "certaines activités en cours, comme le transfert continu d’armes iraniennes à la milice chiite – comprenant des systèmes d’armement sophistiqués – qui servent à affaiblir la souveraineté libanaise, contribuent à l’instabilité politique et économique dans la région et continuent de représenter une menace extraordinaire et inhabituelle pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis".

Fin mai, un responsable du Pentagone ayant requis l'anonymat avait affirmé que Washington souhaitait renforcer l'armée libanaise afin de "contrer le Hezbollah", des déclarations faites alors le Liban traverse une grave crise socio-économique et financière et que l'Etat n'a plus les moyens de financer nombre de ses institutions, dont la troupe.

Le parti chiite est sur la liste américaine des organisations terroristes, depuis 1997. Ses dirigeants, ainsi que des soutiens et des alliés du parti chiite, font l'objet de sanctions américaines. Parmi eux figurent notamment le chef du Courant patriotique libre, le député Gebran Bassil, ou encore les ex-ministres Youssef Fenianos et Ali Hassan Khalil.

Le président américain, Joe Biden, a décidé mardi de prolonger pour un an, ce qui est connu comme "l’état d’urgence nationale par rapport au Liban", décrété par les États-Unis depuis 2007. La même mesure avait été prise à la même époque en 2020. Il s’agit d’un document qui évoque "une menace extraordinaire et exceptionnelle contre la sécurité nationale et la politique...

commentaires (2)

Le président Biden n’est pas sans savoir que si des sanctions ne sont pas accompagnées d’actes effectifs de poursuites judiciaires devant un tribunal international, vu qu’au Liban il n’y a plus de justice mais que de faux justiciers, rien ne changera dans les rapports de forces que ces nabots ont décidé d’engager. Le fait qu’ils soient désignés comme voleurs et traitres n’affecte pas leur ego ni leur détermination à détruire le pays pour ne pas être condamnés pour leurs actes criminels. Alors un conseil, toute décision de sanction doit s’accompagner de mise en examen et poursuites judiciaires pour enfin se débarrasser de tous les vendus et refonder ce pays. Sinon c’est peine veine et perte sèche de temps et d’argent pour ce pays qui agonise avec son peuple sans qu’une décision ferme et définitive pour les anéantir ne vienne le sauver des griffes de ces fossoyeurs qui sont toujours à leur poste et fiers d’assassiner le peuple et le pays.

Sissi zayyat

10 h 27, le 23 juillet 2021

Tous les commentaires

Commentaires (2)

  • Le président Biden n’est pas sans savoir que si des sanctions ne sont pas accompagnées d’actes effectifs de poursuites judiciaires devant un tribunal international, vu qu’au Liban il n’y a plus de justice mais que de faux justiciers, rien ne changera dans les rapports de forces que ces nabots ont décidé d’engager. Le fait qu’ils soient désignés comme voleurs et traitres n’affecte pas leur ego ni leur détermination à détruire le pays pour ne pas être condamnés pour leurs actes criminels. Alors un conseil, toute décision de sanction doit s’accompagner de mise en examen et poursuites judiciaires pour enfin se débarrasser de tous les vendus et refonder ce pays. Sinon c’est peine veine et perte sèche de temps et d’argent pour ce pays qui agonise avec son peuple sans qu’une décision ferme et définitive pour les anéantir ne vienne le sauver des griffes de ces fossoyeurs qui sont toujours à leur poste et fiers d’assassiner le peuple et le pays.

    Sissi zayyat

    10 h 27, le 23 juillet 2021

  • Le président Biden n’est pas sans savoir que si des sanctions ne sont pas accompagnées d’actes effectifs de poursuites judiciaires devant un tribunal international, vu qu’au Liban il n’y a plus de justice mais que de faux justiciers, rien ne changera dans les rapports de forces que ces nabots ont décidé d’engager. Le fait qu’ils soient désignés comme voleurs et traitres n’affecte pas leur ego ni leur détermination à détruire le pays pour ne pas être condamnés pour leurs actes criminels. Alors un conseil, toute décision de sanction doit s’accompagner de mise en examen et poursuites judiciaires pour enfin se débarrasser de tous les vendus et refonder ce pays. Sinon c’est peine veine et perte sèche de temps et d’argent pour ce pays qui agonise avec son peuple sans qu’une décision ferme et définitive pour les anéantir ne vienne le sauver des griffes de ces fossoyeurs qui sont toujours à leur poste et fiers d’assassiner le peuple et le pays.

    Sissi zayyat

    10 h 27, le 23 juillet 2021

Retour en haut