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Moyen-Orient - Méditerranée orientale

Ankara appelle Athènes à « régler les problèmes »

La Turquie a dit hier vouloir « régler les problèmes » avec la Grèce concernant l’exploration d’hydrocarbures en Méditerranée orientale, à l’issue de discussions visant à désamorcer la crise qui oppose ces deux voisins membres de l’OTAN. Des responsables grecs et turcs se sont réunis à Istanbul pour des « contacts exploratoires » en lien avec les différends qui opposent Ankara à Athènes, réactivant un mécanisme d’échanges qui avait été suspendu en 2016 sur fond d’aggravation des tensions. « Régler tous les problèmes, y compris ceux en mer Egée, est possible et notre volonté pour y parvenir est entière. La paix et la stabilité régionales sont dans l’intérêt de tous », a déclaré sur Twitter le porte-parole du président Recep Tayyip Erdogan, Ibrahim Kalin, à l’issue des discussions. Signe toutefois de la méfiance qui règne, Athènes a signé hier un contrat pour l’achat de 18 avions de combat Rafale à la France, une décision prise notamment en réaction à la multiplication des démonstrations de force turques en Méditerranée orientale.


La Turquie a dit hier vouloir « régler les problèmes » avec la Grèce concernant l’exploration d’hydrocarbures en Méditerranée orientale, à l’issue de discussions visant à désamorcer la crise qui oppose ces deux voisins membres de l’OTAN. Des responsables grecs et turcs se sont réunis à Istanbul pour des « contacts exploratoires » en lien avec les...

commentaires (1)

La Turquie ne négocie que le dos au mur et ne lâche jamais rien que par la force. Je ne penses pas que ce soit le moment d'accepter quoi que ce soit, mais au contraire mettre la pression pour que la Turquie abandonne enfin et une fois pour toute ses velléités agressives. Cela commence par un retrait unilatéral et sans conditions de Chypre. Le reste deviendra plus facile.

Pierre Hadjigeorgiou

10 h 27, le 26 janvier 2021

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Commentaires (1)

  • La Turquie ne négocie que le dos au mur et ne lâche jamais rien que par la force. Je ne penses pas que ce soit le moment d'accepter quoi que ce soit, mais au contraire mettre la pression pour que la Turquie abandonne enfin et une fois pour toute ses velléités agressives. Cela commence par un retrait unilatéral et sans conditions de Chypre. Le reste deviendra plus facile.

    Pierre Hadjigeorgiou

    10 h 27, le 26 janvier 2021

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