Rechercher
Rechercher

"torche de la révolution du 17 octobre" devant le port de Beyrouth. Photo Joao Sousa

Direct Liban

Retrouvez, ici, la couverture en direct de la mobilisation pour le premier anniversaire de la thaoura

Ce qu’il faut retenir

Ce samedi, pour marquer le premier anniversaire du soulèvement populaire qui avait débuté le 17 octobre 2019, des milliers de Libanais sont redescendus dans la rue.

Le thème du rassemblement, à Beyrouth, est : "La lutte continue jusqu’à ce que justice soit faite."


20:50 heure de Beyrouth

A Jal el-Dib, au nord de Beyrouth, l'un des hauts-lieux de la contestation durant plusieurs mois, une plaque commémorative a été dévoilée. Cette plaque, qui prend la forme géographique du Liban et sur laquelle est inscrit "Révolution du 17 octobre 2019", a été apposée sous le pont situé sur l'autoroute. Quelques dizaines de manifestants sont rassemblés sur les lieux.

19:36 heure de Beyrouth

L'armée intervient et repousse les manifestants vers le secteur de Saïfi, au niveau du siège du parti Kataëb. La brigade anti-émeute appelle des renforts, face aux nombreux jets de pierres. Les tirs de gaz lacrymogène se sont multipliés. Il n'est pas clair si ces accrochages ont fait des blessés de part et d'autre.

19:27 heure de Beyrouth

Peu avant 19h30, la brigade anti-émeute des Forces de sécurité intérieure charge des manifestants dans le centre-ville de Beyrouth, les repoussant de la rue Weygand vers la place des Martyrs. Des gaz lacrymogènes sont tirés par les forces de l'ordre, tandis que certains manifestants jettent des projectiles, notamment des pierres, contre la police.

19:05 heure de Beyrouth

Quelques manifestants sont rassemblés à Zouk, dans le Kesrouan. La ville a été le théâtre de nombreuses manifestations anti-pouvoir au début de la révolte. "Nos dirigeants ont volé le cèdre et vendu ses biens", pouvait-on lire sur un drapeau libanais brandi par des manifestants.

19:04 heure de Beyrouth

Dans le centre-ville de Beyrouth, seuls quelques manifestants étaient encore sur place, vers 19h, dans une ambiance calme.

19:02 heure de Beyrouth

Peu après 18h30, les manifestants présents devant le port de Beyrouth ont commencé à se disperser, après l'illumination de la "torche de la révolution du 17 octobre", même si la voie ouest de l'autoroute restait partiellement bloquée à la circulation, à la tombée de la nuit. Parmi ces manifestants, plusieurs doivent se rendre à Jal el-Dib, au nord de la capitale, où une plaque commémorative de la révolution doit être dévoilée dans cette ville qui était l'un des hauts-lieux de la révolte.

A Saïda, une poignée de jeunes hommes et femmes étaient encore rassemblés sur la place Elia, en début de soirée. Mais vers 19h, l'armée a rouvert les voies à la circulation, selon notre correspondant sur place Abdallah Mountaser.

18:46 heure de Beyrouth

Les Forces de sécurité intérieure (FSI) démentent avoir eu recours à des tirs de gaz lacrymogènes contre des manifestants rassemblés plus tôt, cet après-midi, devant le siège de la Banque du Liban, dans le quartier de Sanayeh à Hamra. "Ces informations sont infondées. Ce sont des protestataires qui ont en fait lancé des pétards", écrit la police sur Twitter.


18:34 heure de Beyrouth

Encore quelques images :



18:20 heure de Beyrouth

En images : La "torche de la révolution du 17 octobre", devant le port de Beyrouth. (Photo Julien Ricour-Brasseur)

18:12 heure de Beyrouth

La "torche de la révolution du 17 octobre", une structure métallique installée vendredi soir, est allumée devant le port de Beyrouth, à 18h07, heure exacte de la double explosion meurtrière qui a ravagé le port et la capitale le 4 août dernier et fait 202 tués et des milliers de blessés. Devant ce monument, plusieurs centaines de manifestants sont rassemblées. Elles entonnent l'hymne national.

18:07 heure de Beyrouth

Témoignage : Joséphine Zougheib, militante de la première heure issue des rangs du collectif "Citoyens et citoyennes dans un Etat", dirigé par l'ancien ministre Charbel Nahas, se dit "triste pour les personnes tuées le 4 août". "Mais la révolution continue. Nous n'allons pas nous arrêter. Beyrouth rassemble tout le monde", ajoute-t-elle, devant le port de Beyrouth.

18:05 heure de Beyrouth

Une minute de silence est observée devant le port de Beyrouth, afin de rendre hommage aux plus de 200 victimes et 6.500 blessés de la double explosion du 4 août. Le silence était entrecoupé d'applaudissements de la part des manifestants rassemblés sur place.

17:58 heure de Beyrouth

Certains manifestants sont rassemblés devant l'un des accès au parlement, rue Weygand, bloqué par des barrières métalliques. Par le passé, des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre ont eu lieu en cet endroit.


17:55 heure de Beyrouth

Peu avant 18h, la foule grossit devant le port de Beyrouth, où une structure métallique portant l’inscription « 17 octobre » a été installée vendredi soir. Des torches venant des quatre coins du pays sont censées allumer cette structure à 18h07, heure exacte de la double explosion meurtrière qui a ravagé le port et la capitale le 4 août dernier et fait 202 tués et des milliers de blessés. Les manifestants convergent depuis le secteur de Saïfi, ainsi que de l'autoroute située au niveau du Forum de Beyrouth.


17:32 heure de Beyrouth

Assaad fait partie des manifestants du "Front du 17 Octobre" venus avec une torche pour rejoindre le port de Beyrouth. "Cette torche, nous voulons la passer aux générations futures". "La population s'est révoltée de manière spontanée. Je parle en leur nom. Ceux qui ont été payés pour manifester ne sont plus dans les rues aujourd'hui", lance-t-il. "Certains dans ce pays veulent une révolution sanglante, mais la nôtre est propre". Les torches doivent permettre d'allumer une structure métallique érigée hier devant le port dévasté.

17:20 heure de Beyrouth

Sur la place Elia, à Saïda, qui fut un haut-lieu de la contestation l'année dernière, la mobilisation est timide, au grand dam des organisateurs, rapporte notre correspondant Mountasser Abdallah. L'armée et les forces de sécurité se sont déployées en masse. La circulation a néanmoins été coupée par les quelques dizaines de manifestants, poussant les automobilistes à contourner les lieux.

17:14 heure de Beyrouth

Les manifestants se sont divisés en plusieurs groupes au niveau de la banque centrale, à Hamra : un groupe se dirige vers le ministère de l’Intérieur, un autre marche dans Hamra, tandis qu’un troisième se dirige vers le port, pour une commémoration de l’explosion du 4 août, rapporte L’Orient Today

17:05 heure de Beyrouth

Témoignage : Une manifestante, la cinquantaine, venue de Jdeidé, au nord de Beyrouth, se dit fière de voir les Libanais à nouveau dans la rue : "Ces scènes aujourd'hui me font chaud au coeur. Les manifestations ont perdu un peu de leur intensité, mais cela est dû au coronavirus. Mais nous sommes là, de nouveau, pour faire tomber ce système pourri".

17:02 heure de Beyrouth

Dans le secteur de Saïfi, devant la siège du parti Kataëb à l'entrée nord de Beyrouth, une foule composée de dizaines de manifestant est rassemblée, se préparant à se rendre devant le port, où une structure métallique portant l’inscription « 17 octobre » a été installée vendredi soir. Des torches venant des quatre coins du pays sont censées allumer cette structure à 18h07, heure exacte de la double explosion meurtrière qui a ravagé le port et la capitale le 4 août dernier.

16:48 heure de Beyrouth

Les forces de sécurité tirent du gaz lacrymogène contre des manifestants rassemblés devant le siège de la Banque du Liban, à Sanayeh, dans le quartier de Hamra, rapporte L'Orient Today. Le calme est toutefois revenu assez rapidement.



16:45 heure de Beyrouth

A Paris, sur la place du Trocadéro, lieu de rendez-vous habituel pour les manifestants de la diaspora libanaise, des dizaines de Libanais se sont rassemblés sur fond de chants patriotiques et arborant des drapeaux libanais, malgré une météo capricieuse. Certains d'entre eux dansaient la dabké, selon des images de la chaîne LBCI retransmises en direct.

16:40 heure de Beyrouth

"A bas le règne des banques !", "Virez Riad Salamé et remplacez-le par un âne !" scandent des dizaines de manifestants en colère devant le siège de la Banque du Liban, dirigée par M. Salamé, l'une des figures les plus détestées par la rue, alors que la livre libanaise ne cesse de s'effondrer par rapport au dollar depuis l'été dernier et que les Libanais subissent des restrictions bancaires draconiennes.

16:35 heure de Beyrouth

Témoignage : Mohammad Hassan, 23 ans, originaire de Tripoli aussi, est sans emploi.  "Je n'ai pas de téléphone portable, ni même un billet de 1.000 livres en poche. Je n'arrive pas à trouver de travail. Je n'ai pas de permis de conduire. Je ne sais pas comment faire pour m'en sortir. Aujourd'hui, la place des Martyrs devrait être noire de monde, mais où sont les manifestants ? J'ai vu des Beyrouthins et des manifestants venus de la Békaa. Mais où sont les autres ?".

16:32 heure de Beyrouth

Témoignage : Oum Bilal, originaire de Tripoli, sur la place des Martyrs à Beyrouth : "La révolution se poursuit, et nous en sortirons victorieux si Dieu le veut. Nous continuons, et avec force. La révolution ne s'est pas tue. Nous n'avons pas quitté la rue, ni à Tripoli ni ailleurs. Nous sommes fatigués, nous ne pouvons plus rien nous procurer. Ils nous ont tout volé. C'est pour cela que nous devons rester dans la rue. A Saad Hariri je dis : "Ne reviens pas !"."

16:23 heure de Beyrouth

Des dizaines de manifestants scandant "le peuple veut la chute du régime" s'engouffrent dans le tunnel reliant la voie du Ring à la tour Murr, en direction du quartier de Hamra, où se trouve le siège de la Banque du Liban, l'une des institutions les plus honnies par les protestataires. "Saad, Saad, n'y pense même pas", scandent les manifestants, selon rapport L'Orient Today, en référence à la candidature de Saad Hariri au poste de Premier ministre.


16:13 heure de Beyrouth

Quelques centaines d'activistes portant des gilets estampillés "Bouclier de la révolution" sont rassemblés dans le centre-ville de Beyrouth. L'un des organisateurs de ce mouvement, Joe Nasrallah, a dit à notre publication soeur L'Orient Today qu'ils sont là "pour empêcher que n'adviennent des échauffourées devant le siège du Parlement et pour maintenir le caractère pacifique de la manifestation afin d'encourager un plus grand nombre possible de personnes à participer au rassemblement".

16:07 heure de Beyrouth

Sur Twitter, le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo, a critiqué la classe dirigeante libanaise qui "continue d'agir comme si de rien n'était". "Il y a un an, le peuple libanais est descendu dans la rue, réclamant des réformes, une meilleure gouvernance, et la fin de la corruption endémique qui a siphonné l'énorme potentiel du Liban. Leur message est clair et sans équivoque. Continuer d'agir comme si de rien n'était est inacceptable", a estimé le chef de la diplomatie américaine.


15:56 heure de Beyrouth

A Beyrouth, la voie du Ring est fermée par des centaines de contestataires, alors qu'y a lieu une procession de plusieurs collectifs dont "Drabzine". Une banderole "Pont du 17 octobre" est accrochée sur un panneau routier surplombant la route.


15:53 heure de Beyrouth

Des dizaines de contestataires originaires de Taalabaya (Békaa) sont arrivés dans le centre-ville de Beyrouth à bord de plusieurs véhicules et minibus et marchent vers la place des Martyrs, selon des images de la page Akhbar el-Saha. "L'absence de sécurité provoque le chaos, l'absence de justice provoque la révolution" et "La révolution naît dans les entrailles de la tristesse", peut-on lire sur une de leurs banderoles.

15:39 heure de Beyrouth

"La thaoura, un an après" : découvrez notre dossier spécial, nos analyses, reportages, récits, éclairages en cliquant ici

15:36 heure de Beyrouth

Plusieurs marches sont organisées à travers Beyrouth, pour marquer le premier anniversaire de la thaoura :



15:35 heure de Beyrouth

Au son des klaxons et drapeaux libanais au vent, un convoi de véhicules rejoint le centre-ville de Beyrouth, à partir du carrefour dit de "Chevrolet", selon les médias locaux.

15:32 heure de Beyrouth

A l'initiative du collectif "Drabzine", une procession rassemblant plusieurs dizaines de personnes entame une marche depuis la place des Martyrs, avec pour mot d'ordre "La lutte continue jusqu'à la chute de toute la classe corrompue". Ces contestataires marqueront un premier arrêt devant l'Association des banques du Liban.

15:26 heure de Beyrouth

"Kellon yaani kellon", "Tous veut dire tous" : le slogan phare de la thaoura accroché sur l'Oeuf, dans le centre-ville de Beyrouth. (Photo REUTERS/Aziz Taher)

15:23 heure de Beyrouth

Des étudiants de l'Université américaine de Beyrouth se rassemblent devant l'entrée de l'établissement situé dans la rue Bliss, à l'appel du Club laïc (Secular Club), avant de se diriger vers le centre-ville. "Du 17 octobre au 4 août, nous continuerons à nous révolter contre vos crimes", peut-on lire sur une banderole tenue par les manifestants.

15:10 heure de Beyrouth

A Tripoli, des manifestants ont lancé une marche en direction de la place el-Nour, à l'appel de plusieurs groupes de contestataires. Sur la place, les manifestants ont crié leur colère face à la crise socioéconomique et la classe dirigeante, selon l'Agence nationale d'Information (Ani, officielle).


15:02 heure de Beyrouth

Au centre de la place des Martyrs, devant le "poing levé" de la révolution, une nouvelle statue faite de débris provenant de bâtiments détruits lors des explosions du 4 août au port de Beyrouth, a été érigée, représentant une femme brandissant un flambeau. (Photo Joao Sousa)

14:49 heure de Beyrouth

Dans le centre-ville de Beyrouth en ce moment :


14:40 heure de Beyrouth

Des convois de bus de contestataires sont partis de Tyr (Sud), Tripoli (Nord), Baalbeck et Taalabaya (dans la Békaa), afin de venir grossir les rangs des manifestants qui commencent à affluer sur la place des Martyrs à Beyrouth, rapportent des médias locaux.

14:29 heure de Beyrouth

Des prêtres et religieux du Liban ont organisé un sit-in dans le centre-ville de Beyrouth afin de réclamer "réparation et justice" pour les victimes et sinistrés de la double explosion du 4 août dans le port.

Sous une tente, dressée à côté de l'église Saint-Vincent de Paul, près de la place des Martyrs, une dizaine de personnes expliquent être là "pour les Libanais, pour hausser le ton avec eux" face aux dirigeants, confie un prêtre à notre journaliste Zeina Antonios. "Nous voulons soutenir notre peuple dans sa souffrance, alors que, depuis un an que nous descendons dans la rue, la situation n'a pas changé", souligne de son côté le père Gabriel Khairallah.

Dans un communiqué lu par un porte-parole de cette initiative, les participants ont dénoncé "la corruption généralisée dans la majorité des institutions étatiques" et "l’accaparement des biens publics" par les responsables. Ils ont encore revendiqué "justice pour le crime du port de Beyrouth", réclamant notamment des indemnisations pour les victimes, "qu'elles aient été blessées physiquement ou psychologiquement".

14:24 heure de Beyrouth

Retrouvez tous nos éclairages, commentaires, grands récits sur la première année de la thaoura dans ce dossier spécial  --) https://www.lorientlejour.com/minisite/797-la-thaoura-un-an-apres

14:01 heure de Beyrouth

Des dizaines de manifestants ont commencé à se rassembler samedi en début d'après-midi sur la place des Martyrs, dans le centre-ville de Beyrouth. Un groupe de manifestants a organisé une "cérémonie" en hommage aux "martyrs et blessés, avocats et journalistes de la révolution". Certains noms ont provoqué des tensions parmi les manifestants.

13:50 heure de Beyrouth

L'ambassadrice de France, Anne Grillo, a souligné qu'il "est de la responsabilité des forces politiques libanaises de répondre maintenant aux aspirations des Libanais". "Il y a un an, des milliers de Libanaises et Libanais, de toutes les régions, descendaient dans la rue. Ils demandaient des réformes pour une société plus juste, un meilleur vivre ensemble et des perspectives concrètes d'avenir", a-t-elle écrit, assurant que "la France est toujours prête à accompagner ce changement".


13:45 heure de Beyrouth

L'ambassadeur britannique à Beyrouth, Chris Rampling, a affirmé dans un message sur les réseaux sociaux, que pour beaucoup de Libanais, l'espoir émergeant du soulèvement populaire "s'est transformé en désespoir" après une année ayant posé "des défis inédits". Il a notamment cité "la pauvreté, la pandémie et la tragédie inqualifiable du 4 août". Pendant ces derniers mois, "nous n'avons pas vu une seule avancée sérieuse de la part des autorités en ce qui concerne la transparence et le futur est trouble", a-t-il ajouté. Dans ces circonstances, M. Rampling a appelé les Libanais à "trouver un moyen de rétablir la stabilité", soulignant que "tout le monde sait ce qu'il faut faire", en référence aux réformes attendues de la part de l'Etat par la communauté internationale, afin de débloquer les aides financières.


13:42 heure de Beyrouth

"Un an après le début des mouvements populaires, ma main reste tendue pour que nous puissions travailler ensemble à répondre aux revendications en matière de réformes", a écrit le président Michel Aoun sur le compte Twitter de la présidence, à l'attention du mouvement de contestation. "Il n'y a pas de réformes possibles en dehors des institutions", a-t-il ajouté, estimant qu'"il n'est pas trop tard".

13:06 heure de Beyrouth

Un convoi de voitures a sillonné samedi aux alentours de midi les rues de Beyrouth afin d'appeler les habitants de la ville à descendre dans la rue à l'occasion du premier anniversaire de la thaoura. Lors de leur parcours, qui est passé notamment devant la Banque du Liban, le ministère de l'Intérieur et la place des Martyrs, les participants ont scandé, au moyen de haut-parleurs, que "la révolution se poursuivra jusqu'à ce que les revendications soient entendues". "Nous rendrons justice aux victimes des explosions du port de Beyrouth", ont encore lancé les manifestant


commentaires (4)

IL FAUT S,UNIR TOUTES CONFESSIONS ET AGIR JUSQU,ATTEINDRE TOUS LES BUTS DE LA REVOLUTION. DEGAGEZ-LES DE MALGRE ! JUGEZ-LES ! RECUPEREZ LES MONTANTS VOLES ! GELEZ TOUS LEURS AVOIRS DE TOUTES SORTES... PREDATEURS BANQUIERS ET MAFIEUX POLITICHIENS ET MERCENAIRES DE TOUTES COULEURS ET CATEGORIES.

LA LIBRE EXPRESSION

18 h 57, le 17 octobre 2020

Tous les commentaires

Commentaires (4)

  • IL FAUT S,UNIR TOUTES CONFESSIONS ET AGIR JUSQU,ATTEINDRE TOUS LES BUTS DE LA REVOLUTION. DEGAGEZ-LES DE MALGRE ! JUGEZ-LES ! RECUPEREZ LES MONTANTS VOLES ! GELEZ TOUS LEURS AVOIRS DE TOUTES SORTES... PREDATEURS BANQUIERS ET MAFIEUX POLITICHIENS ET MERCENAIRES DE TOUTES COULEURS ET CATEGORIES.

    LA LIBRE EXPRESSION

    18 h 57, le 17 octobre 2020

  • Il essaie de se racheter maintenant qu’il a perdu et vient de réaliser les dégâts qu’ils ont causé lui et ses alliés chrétiens.,ils sont mis sur le bord du pouvoir et ont perdu sur toute la ligne. N’ayant plus l’appui de ceux qu’ils ont dédaigné et ignoré, abandonné par les vendus qu’ils ont soutenu pendant des décennies nous leur leur disons que s’ils n’ont plus d’autres alternatives et bien qu’ils immigrent ou alors qu’ils trouvent seuls la solution que le peuple exige et surtout sans eux. Ne dit on pas en libanais que celui qui se déshabille fini par avoir froid. Les voilà dans l’œil du cyclone à force de complicités et de combines et nous allons les regarder souffrir sans pitié ni empathie lâchés par tout le monde et ça n’est que justice pour tous les traitres car le tour de autres arrive grâce au peuple. Ils auront tous le même sort parce qu’ils ont poussé le bouchon trop loin.

    Sissi zayyat

    18 h 08, le 17 octobre 2020

  • Il faut demander la permission à Mr . Nasralah et à l'Ali Baba ( Berry )

    Eleni Caridopoulou

    17 h 27, le 17 octobre 2020

  • Il n'y a pas de réformes possibles en dehors des institutions ... déclare le père du peuple, lapalissade truculente émanant, encore, d'un responsable "politique", Cela serait vrai dans toute république normalement constituée .Y a t il eu, en un an, une esquisse de tentative de réforme sous l'égide de ce gouvernement ? Il annonce qu'il n'est pas trop tard, mais pourquoi ? A t il seulement conscience, lui et tous les responsables politiques, des dégâts commis sous sa mandature, la plus effroyable que l'on ait connue de toute l'histoire du Liban. Ne comprend il pas qu'il n'est plus l'homme de la situation, si tant est qu'il ait jamais été. Le Liban ne pourra sortir de cette mauvaise passe (doux euphémisme) que le jour où la politique se fera au mérite et non par filiation ( modèle unique au monde) Fils de, Epouse de, Frère ou Soeur de, Gendre de...

    C…

    14 h 40, le 17 octobre 2020

Retour en haut