Le juge d’instruction militaire Marcel Bassil a entendu vendredi deux membres du Parti socialiste progressiste de Walid Joumblatt accusés d’être impliqués dans les incidents de fin juin à Qabr Chmoun, qui avaient coûté la vie à deux partisans du Parti démocratique libanais de Talal Arslane, et décidé de les relâcher sous caution d’élection de domicile, a rapporté l'Agence nationale d'information (Ani, officielle).
Les tensions dans la Montagne, le 30 juin dernier, étaient intervenues au moment où le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil, effectuait une tournée partisane dans le caza de Aley. L’incident avait été clos lors d’une réconciliation, un mois plus tard, entre les deux leaders druzes, sous le parrainage du chef de l’État, Michel Aoun, au palais présidentiel de Baabda.
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