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Le FMI n'a pas exhorté le Liban à laisser flotter la livre, assure le conseiller de Hariri

Le conseiller spécial du Premier ministre Saad Hariri, Nadim Mounla, est revenu sur les conclusions publiées par le FMI début juillet. Mohammad Azakir/Reuters

Le conseiller spécial du Premier ministre Saad Hariri, Nadim Mounla, a démenti jeudi auprès de Reuters que le Fonds monétaire international (FMI) ait exhorté le Liban à laisser flotter la livre libanaise, qui est arrimée au dollar depuis 1997 - à 1507,5 livres pour un dollar, selon la Banque du Liban (BDL).

M. Mounla revenait sur une déclaration du Premier ministre mardi devant les parlementaires pendant la première journée des débats sur le projet de budget pour 2019 (voir par ailleurs). Le haut responsable avait alors indiqué que le FMI « recommandait » au Liban « de laisser flotter la livre, d’instaurer une taxe de 5 000 livres (3,3 dollars) sur le prix de l’essence et de relever la TVA à 15 % ». M. Mounla a précisé que ces mesures n’étaient pas des « recommandations spécifiques » mais plutôt des « recettes générales » adressées aux dirigeants libanais. Le conseiller a ajouté que les récentes conclusions de la délégation d’experts du FMI qui s'est rendue au Liban de fin juin à début juillet dans le cadre de sa mission de surveillance consignée à l’article IV de ses statuts « n’avait rien inclus » de tel.

Le conseiller spécial du Premier ministre Saad Hariri, Nadim Mounla, a démenti jeudi auprès de Reuters que le Fonds monétaire international (FMI) ait exhorté le Liban à laisser flotter la livre libanaise, qui est arrimée au dollar depuis 1997 - à 1507,5 livres pour un dollar, selon la Banque du Liban (BDL). M. Mounla revenait sur une déclaration du Premier ministre mardi devant les...