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Moyen Orient et Monde - Syrie

À Baghouz, l’assaut antjihadistes ralenti à nouveau par les évacuations

L’assaut de forces arabo-kurdes contre l’ultime réduit en Syrie du groupe État islamique a été de nouveau ralenti hier par la fuite de centaines de rescapés du bout de terre où sont acculés les irréductibles de l’organisation jihadiste. Ce qui reste du « califat » autoproclamé en 2014 sur les vastes territoires conquis à cheval entre l’Irak et la Syrie par l’organisation ultraradicale responsable d’atrocités n’est plus qu’un campement de tentes au bord de l’Euphrate, à Baghouz, aux confins orientaux de la Syrie. Fuyant la poche jihadiste bombardée depuis des semaines par les Forces démocratiques syriennes (FDS) soutenues par une coalition internationale menée par les États-Unis, femmes et enfants gravissent dans la douleur une falaise ocre les menant vers le reste du monde. Selon un communiqué des FDS, « 1 300 terroristes (combattants de l’EI) et leurs familles se sont rendus jeudi ». Après la reprise de leur assaut dimanche contre la poche de l’EI dans un des méandres du fleuve Euphrate, les combattants kurdes et arabes ont ralenti leurs opérations hier pour permettre à ceux qui veulent se rendre de le faire, selon un commandant sur le front. D’autres combattants ont affirmé que les conditions météorologiques n’aidaient pas alors qu’une tempête de sable frappe le secteur depuis mercredi.


L’assaut de forces arabo-kurdes contre l’ultime réduit en Syrie du groupe État islamique a été de nouveau ralenti hier par la fuite de centaines de rescapés du bout de terre où sont acculés les irréductibles de l’organisation jihadiste. Ce qui reste du « califat » autoproclamé en 2014 sur les vastes territoires conquis à cheval entre l’Irak et la Syrie par...

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