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Culture - Beirut Chants

Demarquette et sa musique qui rapproche les peuples...

Ce 18 décembre, dans le cadre de Beirut Chants, le violoncelle du musicien français, auréolé du prix de la Fondation Simone et Cino Del Duca, retentira sous les voûtes de l’église Saint-Maron à Gemmayzé.

À quarante-huit ans, c’est la consécration pour Henri Demarquette, qui met sous sa coupe enchanteresse auditoire et critiques, par le chant de son archet exceptionnel.

Depuis ses treize ans, le violoncelliste, formé au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris et soutenu par des mentors qui ont pour noms Pierre Fournier, Paul Tortelier et Janos Starker aux États-Unis, n’a cessé de voir son étoile briller. Son essor international est vite assumé par des collaborations avec les plus grands orchestres du monde (Philharmonique de Londres, l’Orchestre symphonique de Tokyo, l’Orchestre national de France), mais aussi avec des partenaires prestigieux de tous horizons : les pianistes Boris Berezovsky, Michel Dalberto et Jean-Fréderic Neuburger. Sans oublier son duo avec l’accordéoniste Richard Galliano et la création d’un concerto avec Michel Legrand… Plus loin encore, dans l’inédit et l’original, il va contribuer à insérer la musique aux causeries-conférences, grâce à l’initiative de Michel Onfray, stakhanoviste de la plume, dans le cadre de l’Université populaire de Caen.

Sa discographie reflète les préoccupations d’un musicien épris de diversité. Sous des labels différents, il a ainsi enregistré des œuvres pour Beethoven, Brahms, Saint-Saëns, Grieg, Offenbach, Dvorak, Rachmaninov, Fauré, Legrand... Et si le violoncelle a eu ses faveurs parmi tous les instruments de musique, c’est parce que, dit-il, « il couvre merveilleusement toute l’étendue des voix humaines. Il a aussi une infinie variété d’expressions grâce en particulier au mariage entre l’instrument et l’archet ».

Pour son premier concert au Liban, Henri Demarquette donnera la réplique au pianiste Alexei Volodin, qui sera son partenaire et complice de scène. Grand admirateur de Pablo Casals, le violoncelliste interprétera des œuvres de Brahms et Chostakovitch, qui comptent parmi ses compositeurs favoris. Choix porté vers une diversité de style et d’expression.

Enthousiaste, il dit attendre « avec beaucoup d’impatience ce moment. Le Liban me fascine depuis mon plus jeune âge et ouvre en moi les portes de l’histoire et de l’imagination ».

À quarante-huit ans, c’est la consécration pour Henri Demarquette, qui met sous sa coupe enchanteresse auditoire et critiques, par le chant de son archet exceptionnel. Depuis ses treize ans, le violoncelliste, formé au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris et soutenu par des mentors qui ont pour noms Pierre Fournier, Paul Tortelier et Janos Starker aux...

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