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Agenda - Hommage à Nadia Debs

Pour parler à ton sourire

Chère Nadia, je t’écris ces quelques mots pour parler à ton sourire, qui savait faire soudain de ton regard félin un ciel de bienveillance.
Ton sourire a illuminé ma vie depuis le jour où Joe et moi sommes devenus amis, à l’âge de la petite enfance, par la grâce d’une amitié préalable, celle de nos mamans respectives.
Et tout au long de mon enfance et de mon adolescence à Beyrouth, mon cœur savait reconnaître en toi l’autre refuge maternel, et s’étourdir de ton élégance, de ton raffinement, de ton rire, de ton humour, de ta légèreté rafraîchissante, de tes parfums, de tes robes, de tout un monde qui portait ton nom, évocateur de cette brillante société libanaise qui a su nous enchanter et nous étonner, ou de l’éternel féminin revêtant le monde de soie et de satin, valse interminable de nos rêves, de nos hiers, de nos toujours…
Puis, plus tard, à Paris, lors de nos promenades avec Joe sur les Champs-Élysées ou le boulevard Saint-Germain, quand le ciel de Paris tentait de te séduire par les pastels de son crépuscule, et toi si heureuse dans cette féerie.
Tant de souvenirs que nous évoquions, plus tard encore, lors de nos savoureuses conversations téléphoniques entre Beyrouth et Paris.
Voilà, tout cela pour te dire, ma chère Nadia, que pour toujours nos cœurs seront ton royaume de lumineuse présence.
Reçois tous les bouquets de toutes les fleurs du monde.
Reçois mon amour infini.

Paris

Chère Nadia, je t’écris ces quelques mots pour parler à ton sourire, qui savait faire soudain de ton regard félin un ciel de bienveillance.Ton sourire a illuminé ma vie depuis le jour où Joe et moi sommes devenus amis, à l’âge de la petite enfance, par la grâce d’une amitié préalable, celle de nos mamans respectives.Et tout au long de mon enfance et de mon adolescence à Beyrouth, mon cœur savait reconnaître en toi l’autre refuge maternel, et s’étourdir de ton élégance, de ton raffinement, de ton rire, de ton humour, de ta légèreté rafraîchissante, de tes parfums, de tes robes, de tout un monde qui portait ton nom, évocateur de cette brillante société libanaise qui a su nous enchanter et nous étonner, ou de l’éternel féminin revêtant le monde de soie et de satin, valse interminable de nos rêves, de...