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Culture - Jounieh Summer Festival

Julien Clerc, cœur battant de rocker

Julien Clerc sur la scène du Jounieh Summer Festival. Photo Michel Sayegh

Ses boucles brunes d’adolescent post-soixante-huitard révolté se sont depuis longtemps calmées, cédant la place au charme et à l’élégance d’un chanteur indémodable. Dans le cadre de sa « tournée des 50 ans », 50 ans de carrière et pas une ride, et du Jounieh Summer Festival, Julien Clerc a survolé hier soir le meilleur d’un répertoire qu’on chante encore sans en avoir oublié un mot. Durant deux heures d’un spectacle qui a commencé avec 40 minutes de retard, entouré de ses 8 musiciens, il a repris ses tubes, entre mélancolie et bonheur, embarquant dans ce moment amoureux un public nostalgique visiblement séduit. Une première partie qui démarre avec Utile, et durant laquelle il enchaîne des titres mythiques dont Fais-moi une place, Femmes, je vous aime, mais aussi les inoubliables Ivanovitch, Ballade pour un fou, Souffrir par toi n’est pas souffrir, Si on chantait ou encore This Melody. Avant de reprendre des tubes plus « variété française »: Hélène, Melissa, Cœur de Rocker et Partir. Deux heures et 50 ans plus tard, on se dit surtout, encore et toujours, que « ce n’est rien, tu le sais bien, le temps passe, ce n’est rien... »

Ses boucles brunes d’adolescent post-soixante-huitard révolté se sont depuis longtemps calmées, cédant la place au charme et à l’élégance d’un chanteur indémodable. Dans le cadre de sa « tournée des 50 ans », 50 ans de carrière et pas une ride, et du Jounieh Summer Festival, Julien Clerc a survolé hier soir le meilleur d’un répertoire qu’on chante encore sans en...

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