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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Ce week-end à Paris, c’était la teuf à gogo...

Jimmy Keyrouz et Kathleen Diab à leur sortie de l’église.

À l’affiche Kathleen et Jimmy…
Déferlante de pivoines blanches, de lierre et d’affiches de cinéma pour les noces de Kathleen (la fille de Wajdi et Dominique Diab) et du réalisateur Jimmy Keyrouz (fils de Carlos et Roula Keyrouz), qui a remporté la médaille d’or et les Bafta Student Film Awards pour son film Nocturne en noir, le prix du réalisateur de la Guilde of America et a été sélectionné pour les Oscars 2017 dans la catégorie Live Action Short. Le couple a célébré son mariage dans la magnifique abbaye cistercienne des Vaux de Cernay. Située dans la forêt domaniale de Rambouillet, ce lieu enchanteur a accueilli les 200 invités, en majorité les amis du nouveau couple et leurs camarades de promotion de Columbia University. Ils étaient venus de partout, de Beyrouth, de Singapour, de San Francisco, de Londres, de Genève, de Dubaï et de New York où vivent Jimmy et Kathleen.
Mais ne vous fiez pas aux apparences, malgré les huit siècles qui habitent les lieux, la soirée n’a pas tardé à prendre toutes les couleurs de la nouba, transformant l’espace entier en dance floor. La musique, qui balançait les meilleurs sons des eighties et nineties, a fait même grimper aux murs Georges Salamé. Gaby Rizcallah a laissé tomber son gros Habanos Montecristo pour le rejoindre. Farouk Abillama a chauffé ses pieds en se déhanchant aux côtés de son épouse Zéna Zalzal. Exsudant la joie de vivre et allumant la soirée comme des pros, les nouveaux mariés, ainsi que Sandro et Christina Saadé, Valérie et Federico Botero, Roy Baladi, Farid et Joëlle Azouri, Ziad Gebran, Philippe et Danielle Menassa, Alexis et Anne-Marie Habib, la jeune designer Sandra Makaron, et d’autres encore n’ont délaissé la piste de danse que pour combler leurs papilles de délicieuses queues de langoustines, d’aiguillettes de rouget, de grenadin de veau, le tout arrosé de Chablis AOP « Vieilles Vignes » et de Château Saint Robert « Poncet Deville » Graves AOP.

Quelques heures plus tôt, Kathleen Diab et Jimmy Keyrouz avaient scellé leur destin en l’église Saint-Jean-Baptiste (XIIIe siècle, monument patrimonial de la commune de Choisel). Ils étaient entourés de leurs témoins : pour elle, ses deux sœurs Danielle et Laura Diab ; pour lui, son frère Tommy Keyrouz et son ami Mario Makaron. Mini-vedettes du mariage, le cortège d’enfants d’honneur qui ont accompagné la mariée jusqu’à l’autel : Mattias Harb, Éva Harb, Georges Chammas, Laeticia Abillama et Alexander Abillama. La cérémonie nuptiale était très émouvante, particulièrement lorsque dans son sermon le père Arnaud Mougin a cité saint Charbel et quand Nathalie Diab Abillama a lu un très beau texte biblique qui parle de l’amour, la vraie sagesse.
Cerise sur le gâteau, alors que la météo annonçait la pluie, ce week-end-là il a fait beau !
Parmi les présents également May et Raymond Abou Adal, Nayla Merheb, Joe et Joumana Boulos, Nemr et Tilda Diab, Nadia Abillama, Joumana Hobeika, Alexis et Anne-Marie Habib, Hani Samaha, Roger et May Tohmé, Nabil et Ghada Dada, Georges et Maha Abou Jaoudé, Clara Yared, Manuel Younès et Louis Abou Charaf accompagnés de leurs épouses.

Rabih et Lina, le vent en poupe
Une première fois dans l’histoire du « Prix Liliane Bettencourt pour l’intelligence de la main ». Deux Libanais dans le jury ! Et c’est bien justifié. Les deux naviguent avec succès entre la France et le Liban. L’un est notre chevronné Rabih Kayrouz, l’autre et l’architecte franco-libanaise Lina Ghotmeh, qualifiée par la presse de « docteure en bâtiment », avait remporté sous le nez d’un bataillon de vétérans le chantier de l’ancienne gare Massena, à Paris, réalisé le musée national estonien et offert une nouvelle esthétique au restaurant les Grands Verres du palais de Tokyo. La lauréate du prix AFEX 2016 multiplie les projets à travers le monde, dont celui des Stone Gardens, à Achrafieh, Beyrouth.
Rabih Kayrouz, le célèbre couturier dont les défilés parisiens sont encensés par la critique, fait également partie du jury de cette 19e édition. S’intéressant de près à la jeunesse pétrie de talents, il avait créé (avec Tala Hajjar) la fondation Starch pour aider les young fashion designers à prendre leur envol sur le marché. Grâce à cette fondation, dix créateurs au moins ont rencontré le succès. Du pur Rabih Kayrouz. Et exactement dans l’esprit du prix pour l’intelligence de la main, qui a pour objectifs de soutenir et de célébrer les artisans d’art, créateurs, artistes ou designers qui explorent de nouvelles recherches esthétiques, maîtrisent une haute technicité et font preuve de créativité. Créée en 1999 par la grande héritière de L’Oréal, la femme la plus riche du monde, morte en septembre dernier à l’âge de 94 ans, cette récompense est devenue le label d’excellence des métiers d’art français.
Qui voyait dans la main « le prolongement de la pensée, l’instrument des instruments pour créer et innover » ? Évidemment Aristote !

Taste of Lebanon by HH
Des invités de choix à la table du Prince de Galles : l’architecte Aline Asmar d’Aman qui a piloté la rénovation de l’hôtel du Crillon, le décorateur, antiquaire et galeriste libanais d’origine arménienne Chahan Minossian dont le style cosmopolite séduit de Paris à Tokyo, Rabih Kayrouz, Olivier Lapidus et son épouse Yara Wakim, le trompettiste et compositeur Ibrahim Maalouf, la chanteuse Hiba Tawaji, Léa Salamé et sa mère Mary Salamé. Tous se sont retrouvés à dîner au 33 avenue George V, pour déguster en compagnie des membres de l’équipe de la direction de l’hôtel Prince de Galles un festival culinaire… qui les a fait saliver. Les plats étaient concoctés par le chef libanais Hussein Hadid et « twistés par la french touch de la chef étoilée de cette maison iconique, Stéphanie Le Quellec ». H. Hadid, qui s’est approprié les fourneaux de l’établissement, mettra cet été son talent culinaire à la disposition des gourmets parisiens. Une bonne raison d’aller faire un tour de ce côté…

« Soleil obscur » au musée Sursock
Après son succès à la 57e Biennale d’art de Venise, et avant sa tournée en Finlande, en Angleterre, en Norvège et en Australie, Nadine Saddi Zakkour a relevé le défi d’exposer l’installation ŠamaŠ à Beyrouth. Aussi, toute la ville s’est-elle pressée au musée Sursock pour admirer cette œuvre que l’artiste pluridisciplinaire Zad Moultaka a présenté l’année dernière au pavillon libanais de la cité des Doges. À l’instar de l’inauguration faite à Venise, 32 chanteurs du chœur de l’Université antonine ont interprété sous la direction du père Toufic Maatouk ŠamaŠ Itima (Soleil obscur), hymne au dieu sumérien, devant la Première dame, Nadia Aoun, et un parterre de personnalités socioculturelles, parmi lesquelles Rony et Wadad Arayji, Myrna Boustany, Zaza Jabre, Bassel Dalloul, Raya Daouk, Laura Lahoud, Saleh Barakat, Véronique Aulagnon (directrice de l’Institut français du Liban), Makram et Michel Zaccour, Zafer Chaoui, Micha Mahmoud, sans oublier la galeriste Nadine Begdache qui représente Zad Moultaka à Beyrouth. Présents également les ambassadrices d’Uruguay et de Colombie, Marta Ines Pizzanelli et Georgine Mallat, Christian et Maya Ibrahimcha, Joe et Hala Saddi, Joumana Yarak, Carla Jazzar, Georges et Christiane Tawil, Lina Mroué, Andrée Riachi, Walid Rizk, Maria et Paul Audi, Maya et Makram Honein, pour ne citer que quelques-uns.

ditavonbliss@hotmail.com

À l’affiche Kathleen et Jimmy… Déferlante de pivoines blanches, de lierre et d’affiches de cinéma pour les noces de Kathleen (la fille de Wajdi et Dominique Diab) et du réalisateur Jimmy Keyrouz (fils de Carlos et Roula Keyrouz), qui a remporté la médaille d’or et les Bafta Student Film Awards pour son film Nocturne en noir, le prix du réalisateur de la Guilde of America et a été...

commentaires (1)

Tant qu'il y'a la meuf à Paname, la teuf n'est pas loin , ça donne du taf à pas mal de personne.

FRIK-A-FRAK

13 h 43, le 12 juin 2018

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Commentaires (1)

  • Tant qu'il y'a la meuf à Paname, la teuf n'est pas loin , ça donne du taf à pas mal de personne.

    FRIK-A-FRAK

    13 h 43, le 12 juin 2018

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