Le président libanais Michel Aoun a dénoncé mardi dans un court tweet les violences meurtrières de la veille à la frontière de la bande de Gaza où les soldats israéliens ont tué 58 Palestiniens. Ces incidents avaient été accompagnés de heurts et de manifestations contre l'inauguration de l'ambassade américaine à Jérusalem.
"Le crime se poursuit en l'absence des gardiens...#Palestine", a écrit le chef de l’État sur son compte Twitter personnel.
Lundi, les responsables libanais avaient unanimement condamné le transfert de l'ambassade des États-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, ainsi que la répression meurtrière des manifestations palestiniennes. Celles-ci doivent culminer aujourd'hui, jour anniversaire de la Nakba (catastrophe), marquant l'expulsion de centaines de milliers de Palestiniens lors de la création de l’État d'Israël en 1948.
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